Lataille du marchĂ© algĂ©rien des fruits et lĂ©gumes devrait enregistrer un TCAC de 5,8 % d'ici 2026. Le rapport comprend l'analyse de la production (volume), l'analyse de la consommation (valeur et volume), l'analyse des exportations (valeur et volume), l'analyse des importations (valeur et volume). ), et analyse de la tendance des prix. TĂ©lĂ©chargez un exemple de rapportTemps de lecture estimĂ© 33 secondes Chaque semaine, La Minute C vous propose un tour dâhorizon des prix du marchĂ©. Du blĂ© dur au yaourt brassĂ© aux fruits, en passant par le prix de la pomme de terre, toutes les informations extraites directement du site de la direction du commerce de la Wilaya dâAlger vous seront rĂ©vĂ©lĂ©es et seront analysĂ©es. Pour cette semaine du 05 septembre 2018, les prix des lĂ©gumes frais sont en hausse, avec un symbolique 90 DA le kilogramme pour la pomme de terre, prix de dĂ©tail. Croisons les doigts, cependant, pour une baisse significative du prix de la banane qui sâĂ©lĂšve prĂ©sentement Ă 400 DA le kilogramme ; rappelons que ce prix atteignait un record historique dĂ©but 2017 avec 500 DA le kilogramme. CâĂ©tait Ă lâĂ©poque le prix le plus Ă©levĂ© dâun fruit exotique en Afrique. Related Tagsfruits lĂ©gumes algermercuriale alger fruits lĂ©gumesprix des fruits lĂ©gumes alger M Boulenouar a indiquĂ© que les prix des lĂ©gumes secs ont augmentĂ© de 20 et 30 dinars par kilo, selon le quotidien Ennahar. Le prix des haricots blancs a enregistrĂ© une hausse allant de 250 da/kg Ă 230 da/kg par, contre 190 da/kg pour la mĂȘme pĂ©riode. Le prix des pois chiches a atteint environ 290 kg par kg, contre 230 kg par kg lâan
Ăconomie Une grande vente directe de produits Ă prix coĂ»tant est organisĂ©e jeudi Ă Paris et en banlieue par le PCF et le syndicat paysan Modef. Semaine animĂ©e pour les fruits et lĂ©gumes, et qui ne fera certainement qu'amplifier le dĂ©bat sur leurs prix. Jeudi 21 aoĂ»t, le syndicat paysan Modef et le Parti communiste organisent, comme tous les Ă©tĂ©s depuis quatre ans, une grande vente directe 60 tonnes de produits Ă prix coĂ»tant, Ă Paris et en banlieue, avec Marie-George Buffet en invitĂ©e vedette. L'objectif est de dĂ©noncer les marges de la grande distribution. "Les prix sont Ă©levĂ©s Ă la consommation, bas Ă la production, et la moitiĂ© des producteurs ont disparu en trente ans", s'enflamme Raymond Girardi, le secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral du Modef. Puis vendredi et samedi, les Français dĂ©couvriront des opĂ©rations de promotion devant et dans les magasins, organisĂ©es main dans la main par les producteurs â du syndicat agricole FNSEA cette fois â et les distributeurs. Pour ce faire, ils ont reçu l'aval du gouvernement, qui a autorisĂ© ces opĂ©rations spĂ©ciales car les prix des lĂ©gumes d'Ă©tĂ©, courgettes, tomates et melons principalement, sont... anormalement bas, et qu'il faut liquider ces stocks pĂ©rissables ! Alors mĂȘme que l'offre Ă©tait importante et les prix modĂ©rĂ©s, les consommateurs ont boudĂ© ces produits, ce qui a fait chuter les prix. Une situation qualifiĂ©e de crise par le ministĂšre de l'agriculture. Pour ajouter Ă la confusion, les prix des fruits Ă noyaux prunes et abricots, eux, sont plus Ă©levĂ©s que la moyenne, car la rĂ©colte est faible, Ă cause d'un gel tardif au printemps. Difficile pour un non-spĂ©cialiste de se forger un avis sur la rĂ©alitĂ© des prix. D'autant que les chiffres publiĂ©s par ceux qui s'Ă©vertuent Ă prouver que les prix sont hauts, et ceux qui tempĂȘtent qu'ils sont bas, divergent. Dernier Ă©pisode en date, une Ă©tude rĂ©alisĂ©e par l'association Familles rurales et publiĂ©e mardi 19 aoĂ»t par La Croix. Elle dĂ©montre que le coĂ»t pour un couple avec deux enfants de plus de 10 ans respectant les recommandations de l'Organisation mondiale de la santĂ©, soit 400 grammes de fruits et lĂ©gumes par jour, s'Ă©lĂšve cet Ă©tĂ© Ă 131 euros, soit 12,6 % du smic. Interfel, qui reprĂ©sente la filiĂšre du producteur au distributeur, lui a rĂ©pondu dans un communiquĂ© reprochant Ă Familles rurales des calculs peu reprĂ©sentatifs. Selon elle, le budget mensuel, sur l'annĂ©e, s'Ă©lĂšverait Ă 72 euros. UN PRIX MOYEN AU KILO DE 1,98 EURO Cher, pas cher ? Chaque camp tranche diffĂ©remment. "Certains produits sont vendus Ă des prix compĂ©titifs, aprĂšs, tout est question de choix personnel", explique JĂ©rĂŽme BĂ©dier, le prĂ©sident de la FĂ©dĂ©ration du commerce et de la distribution FCD. Pour le prouver, celle-ci a mis en place un indicateur, appelĂ© "5-1-2", pour "5 produits pour plus de 1 kilo et moins de 2 euros", soit une consommation quotidienne pour deux personnes, et dĂ©montre, exemple Ă l'appui, que c'est possible. AngĂ©lique Delahaye, prĂ©sidente de la FĂ©dĂ©ration nationale des producteurs de lĂ©gumes, une branche de la FNSEA, ajoute un dernier argument "En moyenne, les fruits et lĂ©gumes, au kilo, coĂ»tent de 2 Ă 3 euros. Si on compare au reste de la gamme alimentaire, ils font partie des produits les moins chers." Mais dans un contexte d'inflation des prix alimentaires sur l'annĂ©e, le sujet dĂ©jĂ sensible est devenu explosif. Selon TNS Worldpanel, le prix au kilo moyen s'est Ă©levĂ© Ă 1,98 euro en 2007, contre 1,92 en moyenne entre 2002 et 2006. D'aprĂšs les relevĂ©s de l'Insee, entre juillet 2007 et juillet 2008, les fruits ont augmentĂ© de 20 %, alĂ©as climatiques obligent, les lĂ©gumes n'ont gagnĂ© que 1 %. Observer les indices de prix Ă la consommation de l'Insee permet surtout de comprendre que les prix varient Ă©normĂ©ment d'un mois sur l'autre, contrairement au reste des dĂ©penses alimentaires, et qu'avoir des repĂšres n'est pas aisĂ©. Car c'est bien lĂ la particularitĂ© du prix des fruits et lĂ©gumes, ĂȘtre trĂšs fortement dĂ©pendant de l'offre et de la demande. Ces deux donnĂ©es sont elles-mĂȘmes liĂ©es Ă la mĂ©tĂ©o, qui influe aussi bien sur le volume de production que sur les envies de consommation, souvent dĂ©calĂ©s de surcroĂźt. AprĂšs des annĂ©es d'antagonisme entre producteurs et distributeurs, les professionnels dĂ©livrent dĂ©sormais le mĂȘme message il est possible d'acheter des produits bon marchĂ©, chaque semaine, en suivant l'offre et les saisons. MĂȘme si les producteurs, comme aujourd'hui ceux de melons, se demandent encore pourquoi une piĂšce vendue par eux 75 centimes peut se retrouver sur les Ă©tals Ă plus de 2 euros. "N'oublions pas les frais de conservation ou le transport. Faisons comprendre que le prix moyen au kilo n'est pas scandaleux, et arrangeons-nous pour que dans la filiĂšre, chacun gagne sa croĂ»te", propose Mme Delahaye. MĂȘme si le Modef critique l'opĂ©ration, le reste des acteurs veut jouer le jeu, en cas de crise sur certains produits, des ventes au dĂ©ballage. Elles se tiendront les 22 et 23 puis les 29 et 30 aoĂ»t, et enfin les 8 et 9 septembre. Un outil utilisĂ© une premiĂšre fois en 2007 pour les pĂȘches et les nectarines, et qui pourrait se gĂ©nĂ©raliser grĂące Ă une simplification de la procĂ©dure administrative. Il faut pour l'instant un accord du ministĂšre de l'agriculture et de Bercy pour autoriser ces opĂ©rations d'urgence. L'avantage est que tout le monde peut s'y retrouver le gouvernement, car les Français, inquiets de leur pouvoir d'achat, peuvent acheter des produits bon marchĂ© ; les consommateurs, pour la mĂȘme raison ; les producteurs, qui vendront un produit qui avait du mal Ă trouver preneur et espĂšrent que l'opĂ©ration permette un redressement des prix, une fois les surplus Ă©coulĂ©s. Enfin, la distribution peut y trouver son compte, car les promotions attirent les clients dans les rayons. Laetitia Clavreul Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil Ă la fois Ce message sâaffichera sur lâautre appareil. DĂ©couvrir les offres multicomptes Parce quâune autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil Ă la fois ordinateur, tĂ©lĂ©phone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous ĂȘtes la seule personne Ă consulter Le Monde avec ce compte. 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PlusieursspĂ©culateurs profitant de lâafflux des citoyens sur les marchĂ©s des fruits et lĂ©gumes et les produits de large consommation en raison de la propagation de la pandĂ©mie du coronavirus en AlgĂ©rie, ont fait monter les prix de deux, voire trois fois plus le prix rĂ©el des produits. En effet, en plus de la panique créée par le coronavirus, les citoyens sont choquĂ©s
Rien nâĂ©chappe Ă la tendance de lâaugmentation puisque les prix des pĂątes alimentaires, fruits et lĂ©gumes, fĂ©culents et lĂ©gumes secs ont tous connu une hausse depuis le dĂ©but de lâannĂ©e 2021. Une chertĂ© qui vient porter le coup de grĂące au pouvoir dâachat du citoyen dĂ©jĂ affectĂ© par une annĂ©e de crise sanitaire. Par Thinhinene KhouchiLa majoritĂ© des prix des produits agricoles, les prix des lĂ©gumes secs, des pĂątes et autres ont enregistrĂ© une augmentation depuis le dĂ©but de lâannĂ©e en cours. En effet, depuis le dĂ©but de la crise sanitaire Ă ce jour, les prix des diffĂ©rents produits alimentaires de large consommation nâont pas cessĂ© dâaugmenter au niveau national. Ceux des produits alimentaires ont, en moyenne, augmentĂ© de 5 %. Afin de constater cette hausse, un tour dans les diffĂ©rentes surfaces de denrĂ©es alimentaires de la capitale ainsi que les marchĂ©s sâest imposĂ©e. Au niveau du rayon pĂątes, on remarque rapidement une augmentation. Le kilo de couscous, Ă titre dâexemple, est Ă 150 DA contre 110 DA il y a quelques semaines seulement. Le paquet de pĂątes de 500g est affichĂ© Ă 65 DA. Le prix dâun kilo de riz dĂ©passe les 120 DA. Du cĂŽtĂ© des lĂ©gumes secs, les lentilles sont Ă 180 DA, les haricots secs Ă 290 DA. Concernant les lĂ©gumes au niveau des marchĂ©s, la pomme de terre est proposĂ©e Ă plus de 55 DA, les tomates Ă 80 DA, les oignons Ă 60 DA. Pour ce qui est des fruits, les oranges sont proposĂ©es Ă 160 DA, mandarines et bananes sont affichĂ©es entre 200 et 250 DA. Ă propos de la flambĂ©e des prix, le prĂ©sident de lâassociation El Aman» pour la protection les consommateurs, HacĂšne Menouar, a estimĂ© que le dĂ©sĂ©quilibre entre lâoffre et la demande, le manque de marchĂ©s de proximitĂ© et lâabsence de contrĂŽle sont les raisons de cette augmentation». On demande Ă ce quâil y ait un contrĂŽle, Ă commencer par lâindustriel avec un sous-dĂ©tail des prix, afin de comprendre si câest une entente entre les opĂ©rateurs pour faire augmenter les prix ou si la hausse est justifiĂ©e», a ajoutĂ© le mĂȘme responsable, estimant que câest la seule solution en vue de garantir le respect des prix. En revanche, un autre responsable de la mĂȘme organisation considĂšre que le facteur responsable de cette hausse des prix serait la dĂ©valuation du dinar», ce qui implique que tous les produits importĂ©s, notamment ceux de la matiĂšre premiĂšre, ont subi une augmentation. Augmentation prochaine de tous les produits contenant du sucreâŠLes jus, gĂąteaux, yaourts, boissons gazeuses et tous les produits qui nĂ©cessitent du sucre dans leur fabrication vont connaĂźtre une hausse engendrĂ©e par lâaugmentation de 10 % du prix du sucre chez les fabricants depuis dimanche dernier. Cette dĂ©claration a Ă©tĂ© faite par le prĂ©sident de lâAssociation algĂ©rienne de protection et dâorientation du consommateur et son environnement Apoce, Mustapha Zebdi, qui a dĂ©noncĂ© ces augmentations anarchiques et injustifiĂ©es. De son cĂŽtĂ©, lors de son passage sur une chaĂźne privĂ©e, Hadj Tahar Boulenouar, prĂ©sident de lâAssociation nationale des commerçants et artisans, a assurĂ© que le sucre destinĂ© Ă la consommation ne connaĂźtra pas dâaugmentation car son prix est officiellement fixĂ© Ă 90 DA depuis 2011. Mais concernant les fabricants des produits qui contiennent du sucre qui ont dĂ» acheter cette matiĂšre premiĂšre au prix nouveau, effectivement, ils vont augmenter le prix de leurs produits», dira Boulenouar, prĂ©cisant que si le prix de la matiĂšre premiĂšre a augmentĂ©, il est normal que le prix de la matiĂšre produite augmente systĂ©matiquement». Il citera les produits qui vont donc connaĂźtre des augmentations, notamment les jus, gĂąteaux secs, boissons gazeuses, miel, confiture, bonbons, chocolat, les pĂątes qui contiennent du sucre aussi et autres produits contenant cette matiĂšre premiĂšre. En outre, Boulenouar a tenu Ă souligner que les fabricants doivent informer les citoyens quant Ă lâaugmentation de leurs produits et en cas de baisse du prix du sucre ils doivent aussi baisser le prix de leurs produits. A cette occasion, critiquant lâabsence totale de communication des producteurs algĂ©riens, Boulenouar a appelĂ© ces derniers Ă informer les consommateurs en cas de hausse et de fixer la date et la marge dâaugmentation de leurs produits dont la matiĂšre premiĂšre est le K.7GWT.