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 ChĂšre Liz. Je sais que je n’ai pas toujours Ă©tĂ© un bon pĂšre pour toi 
 et je m’en excuse. Malheureusement je ne parvenais pas Ă  faire le deuil de ta mĂšre, c’est beaucoup trop dure pour moi ! Contrairement Ă  toi je ne suis pas si fort, je ne parviens pas Ă  tourner la page, son image m’obsĂ©dant nuit et jour. L’alcool m’a longtemps permis d’oublier un peu la rĂ©alitĂ© mais malheureusement je dois dĂ©sormais y faire face. J’ai tellement mal tu sais, je ne peux plus supporter de vivre dans cette tristesse indĂ©finissable. C’est pourquoi je te fais mes adieux, lĂ , acte te paraĂźtre Ă©goĂŻste mais j’ai besoin de rejoindre ta mĂšre au paradis, en espĂ©rant que les portes du paradis ne se referment pas sur moi. Au moment oĂč j’écris ce message je m’apprĂȘte Ă  commettre l’impardonnable. Me pardonneras-tu ? Me comprendras-tu ? Mes doutes me torturent mais dans un moment de dĂ©tresse je ne sais plus quoi faire. A quoi bon vivre sans ta mĂšre ? La vie ne m’a pas sourit, c’est pourquoi je prĂ©fĂšre m’en dĂ©barrasser 
 a resteras Ă  jamais dans mon cƓur ma fille chĂ©rie. Je ne te l’ai que trop rarement dit mais je t’aime, indĂ©finiment, inlassablement. Je t’aime. A jamais »A la lecture de ses mots, la demoiselle sentit ses larmes couler le long de ses joues, avant qu’elle n’attrape son sac Ă  main et ne se mette Ă  courir inlassablement en direction de chez elle. Sa maison ne se situait qu’à quelques minutes mais malheureusement elle arrivera trop tard, son pĂšre Ă©tant allongĂ© dans la salle de bain lorsqu’elle trouvera son corps 
 sans vie. Elle avait longtemps dĂ©testĂ© son paternel mais Ă  cet instant prĂ©cis elle fut en proie Ă  une dĂ©tresse incontestable, ses larmes ne pouvant plus s’arrĂȘter de couler, tandis qu’elle secouait dans tout les sens son pĂšre, en espĂ©rant qu’il revienne Ă  la vie. Me quitte pas » hurlait inlassablement Liz, tandis que le son de l’ambulance retentissait d’ores et dĂ©jĂ  dans la petite ruelle menant Ă  sa maison. Malheureusement les secours ne pourront rien pour lui, rien pour elle. La voici dĂ©sormais livrĂ©e Ă  elle-mĂȘme, dans un monde qu’elle ne parvient plus Ă  savourer, Ă  semaine plus tard 
La nuit fait son apparition dans les rues de Sydney, tandis que Liz se dĂ©cide Ă  sortir, enfin. Elle Ă©tait longtemps restĂ©e cloĂźtrĂ©e chez elle mais elle ne pouvait plus fuir cette horrible rĂ©alitĂ©. Et oui Ă  sa plus grande stupeur Liz Ă©tait en proie Ă  une tristesse sans prĂ©cĂ©dent, se sentant atrocement mal face Ă  ce dĂ©part si soudain. Ne sachant pas oĂč se rendre, Liz poussa la porte du premier bar venu le bar des artistes. Elle y avait passĂ© de longs moments en compagnie de son ex petit ami mais ce soir elle s’y rend dĂ©sespĂ©rĂ©ment seule. Tandis que des couples ou des groupes d’amis ont visiblement le goĂ»t Ă  la fĂȘte, la jeune Campbell arbore un teint blafard, rongĂ© par de longues heures Ă  pleurer et Ă  crier son dĂ©sespoir. Inconsolable, Liz s’assit lourdement sur une banquette vide, avant de commander un whisky. L’envie d’oublier Ă©tait trop forte pour qu’elle ne rĂ©siste plus longtemps Ă  une goutte d’ que les heures dĂ©filaient, Liz restait sur sa banquette, les jambes repliĂ©es sur elle-mĂȘme, sans savoir si elle goutterait ou non Ă  ce verre d’alcool. Elle en avait besoin mais elle ne voulait pas plonger dans ce vide, sachant que le tourbillon infernal qu’avait connu son pĂšre pouvait arriver trĂšs vite. Une fois atteint les 2heures du matin, le bar se vida peu Ă  peu, sans que Liz n’y prĂȘte attention. Les lieux allaient bientĂŽt fermĂ©s et Liz restait encore et toujours assise sur cette banquette, sans que ses lĂšvres ne se soient posĂ©es un seul instant sur son verre 
DerniĂšre Ă©dition par Liz Campbell le Mar 23 Mar - 2124, Ă©ditĂ© 1 fois Re I'm feeliing so sad ... [TerminĂ©] par Sean Hansen Dim 7 Mar - 2036Une nuit de plus de service, et Sean se dit encore davantage qu’il n’aime pas ce qu’il fait, qu’il n’apprĂ©cie pas sa vie, qu’il ne voulait pas qu’elle soit ainsi. Il voit tous ses amis rĂ©ussir, il voit Samanta devenir quelqu’un mais lui, il a l’impression de n’ĂȘtre personne, de n’ĂȘtre qu’un boulet pour les autres. Et Ă  chaque fois qu’il fait ce job, et qu’il cĂŽtoie tous ces artistes, cette terrible sensation ne fait que grandir en lui
 Il avait rĂ©ussi Ă  la fuir, un peu, du moins il en avait eu l’impression, en passant derniĂšrement une soirĂ©e en compagnie d’Aaron, et de Danny. Mais le lendemain matin, cette impression est rĂ©apparue avec un gros mal de crĂąne. Devrait-il boire en continu ? Evidemment, il n’a pas songĂ© Ă  cette Ă©ventualitĂ© mais, toute la soirĂ©e, son envie de boire de l’alcool le ronge son service, il a forcĂ©ment remarquĂ© une jeune femme, seule, assise sur une banquette, complĂštement repliĂ©e sur elle-mĂȘme. Elle ne touchera pas Ă  son verre, ne retrouvera personne dans le bar. L’air dĂ©sespĂ©rĂ©ment triste, elle restera immobile, pendant des heures. Il est trĂšs rare que Sean voie des gens dans cet Ă©tat en ces lieux. La plupart du temps, il croise des fĂȘtards, ou des couples amoureux, ou des amis qui discutent. LĂ , c’est Ă©tonnant, et il ne pourra pas s’empĂȘcher de lui jeter quelques regards, tout au long de la heures du matin, le bar se vide, et Sean rend son tablier. Il ne fait pas la fermeture, ce soir, et c’est tant mieux. Il avait l’impression que plus il accumulait des heures de service, et plus il Ă©tait en train de devenir Ă  quitter les lieux sans plus attendre, il enfile sa veste, reprend son portable et son portefeuille qu’il fourre dans les poches de son jean, puis se dirige vers la sortie. Seulement, son regard est encore alpaguĂ© par cette jeune femme, toujours aussi seule, le regard vide, encore. Au dernier moment, il fait demi-tour et s’avance vers elle. Sean n’a jamais Ă©tĂ© timide et il se sent toujours trĂšs concernĂ© par la douleur des que ça va
 ?Demande-t-il, de sa voix grave, extirpant la demoiselle de ses ~~~ Sean Hansen ~~~ Re I'm feeliing so sad ... [TerminĂ©] par Liz Campbell Lun 8 Mar - 143Ces derniers jours, la lueur brillant dans le regard de la jeune Campbell avait totalement disparu, laissant Liz dans un profond dĂ©sespoir. Liz avait longtemps cru qu’un soulagement l’envahirait si son pĂšre venait un jour Ă  quitter ce monde mais il est clair que tout ça n’était qu’utopie. Bien Ă©videmment elle aurait aimĂ© ne rien ressentir, ĂȘtre presque indiffĂ©rente face au dĂ©cĂšs de l’homme qui l’avait tant fait souffrir, mais c’est loin d’ĂȘtre le cas. C’est ainsi que Liz observait inlassablement son verre d’alcool encore plein, tandis que la majeure partie des personnes prĂ©sentes Ă©taient en train de faire la fĂȘte. Liz n’avait clairement pas le goĂ»t Ă  s’amuser, Ă©tant bien trop attristĂ©e pour cela. S’isolant complĂštement du monde extĂ©rieur, Liz se remĂ©morait les souvenirs en compagnie de son pĂšre, se surprenant parfois Ă  arborer un lĂ©ger sourire face aux souvenirs heureux 
Oui elle avait longtemps Ă©tĂ© heureuse Ă  ses cĂŽtĂ©s, du temps oĂč sa mĂšre Ă©tait encore en vie. Elle ne comptait plus les week ends en famille oĂč ils s’étaient amusĂ©s comme des petits fous, passant le plus clair de leurs temps Ă  s’amuser. NĂ©anmoins tout ça avait changĂ© dĂ©s la disparition de sa mĂšre, laissant son pĂšre plonger dans une dĂ©pression maladive. Ce souvenir Ă©tait Ă©videmment douloureux pour Liz, qui perdu presque instantanĂ©ment son sourire. C’est Ă  cet instant d’ailleurs qu’une voix rĂ©sonna Ă  ses oreilles. Liz avait l’impression que l’on s’adressait Ă  elle mais il lui fallu quelques secondes avant d’en ĂȘtre sur, se tournant ainsi afin d’observer le jeune homme qui venait de lui adresser la parole. Liz se souvenait l’avoir vu du cĂŽtĂ© du bar, supposant ainsi qu’il travaillait ici 
Oh 
 ça va fermer c’est ça ? DĂ©solĂ© je suis un peu 
 dans mes pensĂ©es 
Mais 
 Ca va 
 Merci 
Souffla Liz d’un air totalement dĂ©boussolĂ©e, ayant perdu totalement la notion du temps. Pensant qu’elle devait partir, Liz mit son sac sur son Ă©paule, rangeant son portable et son portefeuille se trouvant sur la table. Re I'm feeliing so sad ... [TerminĂ©] par Sean Hansen Lun 8 Mar - 1257Quand Sean interpelle la jeune femme, celle-ci met un certain temps Ă  rĂ©agir. Elle a l’air complĂštement Ă  l’ouest, comme dĂ©connectĂ©e de la rĂ©alitĂ©. Le serveur fronce les sourcils, donc, jusqu’à ce qu’elle relĂšve les yeux vers lui. Encore complĂštement Ă  cĂŽtĂ© de la plaque, elle s’imagine que le bar est en train de fermer. AussitĂŽt, Sean secoue la tĂȘte, mais elle ne le regarde plus et commence dĂ©jĂ  Ă  ranger ses affaires. Alors, il pose ses mains sur les siennes, pour l’arrĂȘter dans sa lancĂ©e et la rĂ©veiller » un nan, le bar ferme pas encore !Dit-il, en retirant ses mains des siennes. La jeune femme a beau lui dire que tout va bien, Sean est trĂšs sceptique sur ce point
 ! Elle a tout de mĂȘme l’air ailleurs, et pas du tout dans son assiette. Alors, il s’assoit sur une chaise, juste Ă  cĂŽtĂ© de la banquette oĂč elle est installĂ©e et ĂȘtes sĂ»re de ça ?Ça fait je sais pas combien de temps que vous ĂȘtes devant votre verre, vous y avez mĂȘme pas touché Commente Sean, conscient de s’imposer. S’il la dĂ©range, il compte sur elle pour le lui dire, ou le lui faire sentir, et il ne restera pas. Il veut simplement l’aider mais, d’un cĂŽtĂ©, il ne veut pas non plus l’emmerder, alors
 Il fera en fonction de sa rĂ©action. En tout cas, il se montre doux et patient avec elle, pour ne pas la brusquer un seul sais que ça me regarde pas, je peux partir si vous voulez
________________________________________________________________________________________________________ ~~~ Sean Hansen ~~~ Re I'm feeliing so sad ... [TerminĂ©] par Liz Campbell Lun 8 Mar - 2150Totalement enfermĂ©e dans sa bulle, Liz mit un certain temps Ă  rĂ©agir suite Ă  l’interpellation de Sean. Il faut dire qu’elle ne s’attendait pas Ă  ce qu’on vienne la voir, pensant que son air de dĂ©primĂ©e de la vie en ferait fuir plus d’un x. Totalement Ă  l’ouest, Liz commença d’ailleurs Ă  ranger ses affaires, avant que la main de Sean ne vienne la stopper. Ne comprenant pas rĂ©ellement oĂč il voulait en venir, Liz arqua un sourcil, tandis qu’elle plantait son regard naturellement doux dans les yeux de Sean. Mine de rien il semblait un peu intriguĂ© par son attitude. Il pensait peut ĂȘtre qu’elle Ă©tait totalement dĂ©foncĂ©e aprĂšs tout x !Ah 
 D’accord 
DĂ©solĂ© j’ai du mal Ă  reconnecter mon cerveau lĂ  >
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En attendant dans une file lors d'un évÚnement d'escape game horrifique en pleine forÃÂȘt, j'ai eu un débat avec un ami sur l'endroit oÃÂč l'on jette l'eau savonneuse usée de la serpillÚre une fois le ménage terminé.Lui la jette dans les chiottes tandis que moi je lui réponds que je la jette dans l'évier car ayant souvent mes éponges encore dans le bac elle finissent dans l'évier, et non pas dans les chiottes. Il à l'air outré que 1 - je laisse les éponges dans le bac et que 2 - je jette une eau aussi sale dans l'é lui l'eau sale comme ça doit se jeter obligatoirement aux chiottes ce à quoi je dis que je m'en fou car aprÚs avoir jeter dans l'évier je passe un dernier petit coup d'eau a l'évier et ça passeMa copine quant à elle me dit qu'on peut aussi jeter dans la baignoire ça se de notre conversation on avait l'air plutÎt tous d'accord, sauf mon ami, pour l'évier, ou en tout cas que les chiottes n'est pas un choix absolu et obligatoire. Pour lui on était un peu comme des anti-vax à lui dire de telles atrocité vous, oÃÂč jetez vous cette eau sale ?
Detoute façon, vous utilisez de l’eau pour vous laver, c’est pourquoi c’est mieux pour l’environnement car l’eau que vous utilisez pour tirer la chasse d’eau est uniquement utilisĂ©e pour la chasse. 2. Andre Robastu. L'auteur a 2,4 k rĂ©ponses et 519,4 k PubliĂ© le jeudi 1 juillet 2021 Ă  15h14 Kodak Black - capture d'Ă©cran Dans une vidĂ©o devenue virale sur les rĂ©seaux sociaux, le rappeur Kodak Black dĂ©verse des billets de banque par milliers dans l'ocĂ©an, puis dans ses toilettes. Un coup de sang qui serait liĂ© Ă  son protĂ©gĂ©, Jackboy. PrĂšs de 100 000 dollars partis en fumĂ©e. Ou plutĂŽt, partis en mer. Le 30 juin 2021, Ă  bord d'un bateau, le rappeur amĂ©ricain Kodak Black n'a pas hĂ©sitĂ© Ă  jeter des liasses de billets Ă  l'ocĂ©an. Une vidĂ©o qu'il a lui-mĂȘme partagĂ© sur ses rĂ©seaux sociaux. RĂšglement de comptes avec Jackboy Dans une seconde vidĂ©o publiĂ©e un peu aprĂšs en story instagram, on le voit boucher ses toilettes Ă  l'aide de billets de banque. TrĂšs rapidement, s'en est suivie une vague d'indignation sur les rĂ©seaux face Ă  ces scĂšnes irrĂ©elles. Pour afficher ce contenu Twitter, vous devez accepter les cookies RĂ©seaux cookies permettent de partager ou rĂ©agir directement sur les rĂ©seaux sociaux auxquels vous ĂȘtes connectĂ©s ou d'intĂ©grer du contenu initialement postĂ© sur ces rĂ©seaux sociaux. Ils permettent aussi aux rĂ©seaux sociaux d'utiliser vos visites sur nos sites et applications Ă  des fins de personnalisation et de ciblage quelles raisons ?L'artiste n'a pas expliquĂ© son geste mais il serait liĂ© Ă  un rĂšglement de compte avec le rappeur Jackboy. Kodak Black s'est d'abord exprimĂ© sur Twitter, mardi 29 juin 2021, "Je ne signerai plus de rappeurs. C’est n***gas sont ingrats." Avant de s'en prendre directement Ă  Lil Jack, lui reprochant son manque de reconnaissance "Je ne te dois rien n**** je voulais juste te voir briller. Tu ne m’as jamais rien apportĂ© n**** j’avais dĂ©jĂ  mes propres business." Je vais te dire direct mec, t’es un p**tain de vaurien Des accusations auxquelles Jackboy a rĂ©pondu lors d'un live instagram oĂč il fait Ă©tat de sa richesse avant de s'adresser directement Ă  son ami d'enfance de maniĂšre virulente "Je vais te dire direct mec, t’es un p**tain de vaurien". A ces propos, Kodak Black, dont le sang n'a fait qu'un tour, aurait voulu prouver sa richesse... en jetant des billets Ă  la mer et dans les toilettes. Le rappeur, qui a depuis supprimĂ© ses publications, ne cesse donc de crĂ©er des polĂ©miques sur les rĂ©seaux sociaux, un jour aprĂšs un hommage dĂ©placĂ© Ă  Kobe Bryant. Alors mĂȘme que le rappeur originaire de Pompano Beach venait de publier son nouveau clip Last Day In, extrait du projet Happy Birthday Kodak.
Cest ce qui divise les hommes qui multiplie leurs différents. C'est la roue qui crie qui obtient l'huile. C'est relativement facile d'aimer toute l'humanité; le problÚme c'est de pouvoir supporter le sale type qui habite juste à cÎté de nous. C'est toujours ce qu'il y a dans le ballon qui le fait monter ; la couleur ne sert à rien.
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Tu sais, cette solitude dans laquelle on s’enferme quand plus rien ne va. Mais cette mĂȘme solitude de laquelle on veut ĂȘtre sortit. Celle qui nous fait peur, peur que la vie nous rattrape, peur que personne ne soit lĂ  pour nous tendre la main. Cette solitude dans laquelle on se perd toujours un peu plus, celle qui est Ă  la fois notre amie et notre ennemie. Cette solitude qui nous forme une carapace. Celle qui fait apparaĂźtre ces faux sourires, qui nous fait penser un instant qu’on est fort et celle qui fait croire aux autres que tout va bien. Je n’écrirai pas la solitude de ceux qui ne l’ont pas choisie, et mĂȘme, je n’écrirai pas la solitude des autres. Parce que chacun en Ă©crivant sa solitude peut trouver l’infime espoir de s’en sortir. Parce que chacun y verra une chance d’ĂȘtre lu et d’ĂȘtre aidĂ©. Tout le monde au plus profond de soi veut Ă©chapper Ă  sa solitude. Et mĂȘme quand on s’y enfonce, c’est par espoir que quelqu’un soit lĂ  pour nous tendre la main. Quel Ă©goĂŻsme qu’est la solitude. Plaisir Ă©goĂŻste d’une personne en dĂ©tresse. Quel Ă©goĂŻsme que d’espĂ©rer attirer l’attention des autre, ĂȘtre aimĂ©. Quel Ă©goĂŻsme que de s’enfermer ainsi. J’écrirai cette solitude, ma solitude, poussĂ©e par un Ă©goĂŻste espoir que tu puisses me tendre la anĂ©antie, que dire de plus ? Avec le temps on aime plus » Est-ce bien vrai ça ? Je ne pense pas. Avec un nouvel amour, du dĂ©goĂ»t, les larmes ou le sang c'est possible mais le temps ne peut pas grand chose. Peut-ĂȘtre qu'il peut faire oublier la douleur mais pas l'effacer, jouer avec les coeurs mais pas les rĂ©parer, prendre des vies mais pas les rendres. Le temps rĂ©ouvre les plaies, Ă©loigne les gens. Il nous fait rĂ©aliser que nos rĂȘves ne seront jamais exaussĂ©s, qu'on vit pour mourir, que notre existance est inutile. Le temps passe trop vite, il nous fait oublier les meilleures choses, il me rend faible, il me rend malade, il me perd. Je m'accroche et j'en dĂ©prime trop, j'aime trop,je me contrĂŽle pas. Ou plus. Je me rĂ©veille chaque matin en me demandant pourquoi. Pourquoi je continue Ă  avancer, pourquoi je continue Ă  pleurer, pourquoi je continue Ă  sourire, pourquoi je continue. Des questions sans rĂ©ponses. Des rĂ©ponses auxquelles on a pas de questions. Je me perd. Je me relĂšve. Je tombe. Je fuis. Je sourie. Je me cache. Je reste en vie. Je pleurs. Mon esprit s'Ă©vade, mon stylo me guide, les sentiments vibrent dans mon corps, mes phrases ne veulent plus rien dire, elles ne sont que l'expression de mes pensĂ©s perdues. Mon coeur dicte Ă  mon esprit mes sentiments j'en laisserai mes doigts effleurer ta peau si douce, ton corps si parfait. J’apprendrai chacune de tes formes jusqu’à les encrer dans mon coeur, dans ma mĂ©moire. Je mordrai la peau de ton cou, la lĂ©cherai, l’embrasserai. J’aurai ton corps pour moi seul, je le parcourrai sans cesse. Mes ongles pĂ©nĂ©treraient ta peau si tendre. Ton souffle mourrait contre mon visage, ton corps frissonnerait sous mes caresses. Nos corps rĂ©unis je t’embrasserai. Nos corps rĂ©unis je te dĂ©couvrirai. Mais tu n’es pas j’en crĂšve de ne pas te voir. Et j’en crĂšve de ne pas pouvoir te vous saviez comme je me hais quand je suis comme ça. Misanthrope Ă  mes heures perdues. Je ne veux plus ĂȘtre une fille. Je ne veux plus ĂȘtre française ni mĂȘme europĂ©enne. J'aimerai mĂȘme ne plus ĂȘtre humaine. Je me surprend Ă  espĂ©rer la mort de certainnes personnes. Des noms ? Moi-mĂȘme je ne crois pas savoir. Non, j'espĂšre juste en voir quelques uns mourir. J'abandonne mon esprit. J'abandonne mon enveloppe de fifille en crise d'adolescence. Si seulement je pouvais vraiment le faire. Je suis juste Ă  la recherche de mon identitĂ©. Je suis juste perdue. Mais si au moins vous vouliez le pas un garçon facile. J'veux un garçon serais un garçon. Je serai androgyne. Je me tairais pour que vous me laissiez tranquille. J'attirerai peut-ĂȘtre votre regard. Je vous renverrez balader. Je serais misanthrope pour mon plus grand bien. Ou pas. Je jouerai bien de la guitare. Et de quelques autres instruments aussi. Je serais japonais. Je serais fin. J'aurais les yeux bridĂ©s. Je serais diffĂ©rent. Peut-ĂȘtre trop Ă  votre tellement beau de rĂȘver. Va-t'en, cours au loin, je ne serais que tristesse. »Je veux te sentir contre moi, sentir nos deux peaux collĂ©es. Je veux entendre ta voix, tes murmures mourant Ă  mon oreille. Je veux frissonner au passage de tes doigts, sous tes douces caresses. Je veux sentir tes lĂšvres contre les miennes, les sentir descendre dans mon cou. Je veux ne faire plus qu'un avec toi, t'entendre murmurer mon prĂ©nom. Je veux te sentir, nous sentir. Tes caresses me tortureraient, ton souffle me chatouillerait, ton odeur m'apaiserait et ta voix me transporterait. On ne rĂ©colte pas toujours les rĂȘves qu'on a semĂ©s. »Laisse-moi me glisser sous les draps, me blottir contre toi. Laisse-moi caresser tes mains, entremĂȘler mes doigts aux tiens. Laisse-moi faire mourir mon souffle contre ton cou, contre ton visage. Laisse-moi poser mes lĂšvres contre les tiennes, aller Ă  la rencontre de ta langue. Laisse-moi coller mon corps au tient, sentir ta peau contre la mienne. Laisse-moi te glisser quelques mots doux Ă  ton oreille, te regarder rougir. Laisse-moi rĂȘver, espĂ©rer encore un Ă  mes heures perdue ce que mon coeur dicte Ă  mon esprit touche de mĂ©lancolie mĂ©langĂ©e Ă  une joyeuse dĂ©prime. Des souvenirs en grand nombre et des rĂȘves un peu trop rĂ©alistes Ă  mon goĂ»t. La guitare qui vibre contre mon corps frissonant et mon Ăąme qui se transfĂšre dans l'instrument. Je me sens mourir et renaĂźtre Ă  la fois. Mon esprit s'Ă©vade, cet esprit dĂ©rangĂ©, instable et meurtrit. Tout s'enfuit sur le papier, je ne contrĂŽle plus rien. Tout est si flou mais si clair Ă  la fois. La musique crie et j'implose. Le trop plein de sentiments et d'Ă©motions se laisse aller Ă  la pointe de mon stylo. Plus rien n'importe, plus rien n'a de sens. Mon esprit tordu s'exprime, la musique me sert de voix, la guitare parle Ă  ma place. Les Ă©vasions de mon esprit lui ressemblent, elles sont incomprĂ©hensibles et idiotes, elles sont tristes et souriantes. Jour ou nuit je ne sais plus, le cahos c'est installĂ©. En finir ou continuer, tout recommencer. La folie me consume, je m'envole peu Ă  peu en fummĂ©e. Un dĂ©licat parfum, le froid. Je passe de l'hiver Ă  l'Ă©tĂ© en une fraction de seconde. Tout n'est que bruit autour de moi. Mon esprit a quittĂ© mon corps, le laissant mort le temps d'une nuit. Plus aucun sentiment ni Ă©motion ne m'atteind l'espace d'un temps calme, d'une trĂšve avec la mort.Texte sans titreJe me dĂ©truit Ă  coups de toi. Mais je ne peux cesser de te sourire. Je souffre, tu sais. Pourtant toi tu me rends heureuse. Mon coeur est un peu plus transperçé Ă  chaque fois. Mais tu me permets de vivre encore. Je veux pleurer, crier. Mais je suis apaisĂ©e quand tu me parles. Je n'arrive plus Ă  rĂ©flĂ©chir. Mais tu me fais tout oublier quand tu es me dĂ©truits et me fait vivre en mĂȘme temps ...L'ironie du sort, qu'on appelle ça ...Je suis jalouse quand tu me parles d'elles. Je suis pitoyable de ne rien te dire. Je suis triste quand tu me dis que tu m'aimes. Je suis faible de me dĂ©truire joies de l'amour, me dĂ©truit Ă  coups de toi ...Tu me tueras de trop d'amour pour toi ...Laisse-moi rĂȘver de toi. Laisse-moi rĂȘver de veux bien me donner corps et Ăąme, tant que c'est pour te veux. Laisse-moi dĂ©couvrir ton corps. Laisse-moi dĂ©couvrir ton coeur. Laisse-moi apprendre chacune de tes formes. Laisse-moi prendre toute la place dans ton coeur. Je te veux rien que pour moi. Laisse-moi ĂȘtre Ă©goĂŻste. Laisse-moi ĂȘtre jalouse. Laisse-moi ĂȘtre fiĂšre. Laisse-moi les dĂ©goĂ»ter. Je veux te connaĂźtre par coeur. Laisse-moi goĂ»ter Ă  tes lĂšvres. Laisse-moi effleurer ta peau. Laisse-moi embrasser ton cou. Laisse-moi m'imprĂ©gnier de ton me fait vraiment dire des trucs ne suis rien. Laisse-moi devenir tout. Laisse-moi devenir tienne. Laisse-moi avoir l'impression d'ĂȘtre importante Ă  tes yeux. Laisse-moi espĂ©rer encore un peu. Je ne demande pas grand chose. Laisse-moi te voir sourire. Laisse-moi te voir heureuse. Laisse-moi te demander rien qu'un peu de tendresse. Laisse-moi ĂȘtre heureuse Ă  me dire que tu m'aimes, mĂȘme par pure amitiĂ© !J'aime quand tu me dis que tu m'aimes ...J'aime tout chez elle. Tout ce que je connais. Son visage. Ses lĂšvres. Ses yeux. Ses cheveux. Son look. Sa voix. Son humour. Sa passion pour la musique. Ses goĂ»ts ne peux qu'ĂȘtre jalouse, et j'en crĂšve ...Elle est belle. Elle est drĂŽle. Je me sens comme invisible Ă  cĂŽtĂ© d'elle, fade. J'ai peur qu'elle trouve quelqu'un d'autre. Elle habite trop loin. Je ne l'ai pas encore vue en moi comme je t'aime ...Ca partira avec les larmes. Ou avec le pleure ? Non, ce n'est pas vrai. Regardez ces larmes ! Non, elles viennent toutes seules, je ne pleure pas. Pourquoi il est comme ça ? Je ne pleure pas. Venez voir, il pleure ! Non, non, ne me regardez pas ! Il va mal ? Je vais trĂšs bien, laissez moi. Vous pensez qu'on doit aller le voir ? Laissez moi, partez, partez ! Ce serait mieux d'essayer de le consoler, non ? Je ne veux pas qu'on m'aide, je ne veux pas de votre pitiĂ©, laissez moi. Vous pensez que c'est pour quoi qu'il pleure ? Laissez moi partir, laissez moi seul !Les larmes coulent tel de petites billes transparentes roulant sur ses joues. Ne vous mĂ©prenez pas, il est juste bon comĂ©dien. Ignorez-le, ses larmes sont artificielles. Oui, ces fines perles d'eau qui paraissent pourtant si rĂ©alistes ne sont pas vraies. Vous verez, il va partir ainsi et revenir avec le sourire aux lĂšvres. Il ne faut pas le regarder. Il veut juste se rendre intĂ©ressant. C'est souvent, il fait celui qui craque, il part en larmes et revient un peu plus tard avec un grand sourire. Ignorez-le. Ca y est, il s'en va. Vous verez son sourire tout Ă  l'heure. s'en va en courant, il s'isole. Et, tranquillement, avec une lenteur sans pareil et tout le soin possible. Il prend sa lame entre ses doigts fins. FrĂŽlant la peau, il finit pas appuyer lĂ©gĂšrement. Non, presque pas, Ă  peine une caresse. La peau s'ouvre, le sang s'Ă©coule. Doucement, les lettres se forment. Un sourire. Il est heureux. Il se sent vivre. Cette douleur n'est rien. Il sent son coeur battre. Son regard est vide. Trop vide peut-ĂȘtre. Mais il continue Ă  sourire. Ses souvenirs reviennent. Tout dĂ©file devant ses yeux morts. Il ne sait plus voir la vie comme tout le monde. Pas une larme. Cet acte de dĂ©sespoir ne le fait pas pleurer. La joie Ă©mane de lui. La peau continue Ă  s’ouvrir en mĂȘme temps qu’on voit apparaĂźtre les lettres sur son bras. Le liquide rouge coule abondement. Les mouchoirs et contons placĂ©s sous son bras se tĂąchent, absorbant tout ce rouge. Il ne veut pas mettre fin Ă  ses jours. Juste se rappeler son amour perdu. Juste se rappeller sa solitude. Allez-y criez plus fort ! Vos cris seront ma mort ! »Laissez-moi souffrir en paix. MalgrĂ© ce que l’on peut voir, au fond je suis seul. Toujours seul. Ces sourires, ces rires, vous y croyez si bien. C’est si simple. J’aimerai ne plus vous laisser entendre ma voix. Je voudrai sceller mes cordes vocales. C’est simple Ă  dire mais pourtant. Devenir misanthrope – ne serais-ce qu’un moment – me ferait le plus grand bien. Je crois. Je ne vous supporte plus – ou vous suis totalement indiffĂ©rent – exceptĂ© trois ou quatre, seulement. Mais vous ne voyez rien. Ou ne voulez rien voir ? Je ne sais pas trop, en tout cas j’encaisse. Je ne dis rien. Je veux m’enfermer. Je ne veux plus vous voir. Je veux juste Ă©couter de la musique, simplement. Je ne pleurerai pas. Je ne crois pas. Je veux tout arrĂȘter. Je veux tout jeter. Vivre d’amour et d’eau fraĂźche. Tu sais, moi j’ai cessĂ© de croire Ă  tout ça. Je ne vous aime pas. Vous ne connaissez rien de moi. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re Confusions Spirituelles Sam 10 Mai - 1308 DerniĂšre lettre d'un condamnĂ© Ă  vous qui restez. Mes amis, ma famille, mes ennemis et toutes ces personnes que je ne connaissais pas ou celles ignorant mon existence. Je vous remercie d'avoir fait ma vie telle qu'elle l'a Ă©tĂ©. MĂȘme si tout n'a pas Ă©tĂ© rose, mĂȘme si je n'ai pas eu le temps de rĂ©aliser tous mes rĂȘves ni de trouver l'amour. Cet amour qui aurait continuĂ© de me faire vivre par les histoires qu'elle raconterait Ă  nos enfants. Cet amour qui irait prendre soin de ma tombe et qui la dĂ©corerait. Mais j'espĂšre que certains viendront, que certains continueront Ă  se confier Ă  moi. Je vous Ă©couterai, de lĂ  oĂč je serai. Vos peines, vos joies, vos craintes, vous pouvez tout me vous qui restez. Ceux que j'ai aimĂ©s ou dĂ©testĂ©s. Continuez Ă  me faire vivre, nourrissez mon souvenir. Je part sans regret, aprĂšs tout j'ai bien tuĂ© ces hommes et ce de mon plein grĂ©. AprĂšs tout, on est jeunes et inconscients Ă  vingt-trois ans. Ne vous voilez pas la face et cessez de me dire innocent. J'ai tuĂ©, mais ça ne m'empĂȘche pas d'ĂȘtre votre ami, votre fils ou votre frĂšre. Je suis toujours le vous qui restez. Je vous laisse cette derniĂšre lettre en souvenir. Ce n'est pas une lettre d'adieu, seulement un au revoir ». Parce que tout le monde meurt un jour. J'espĂšre juste que vous ne m'oublierez pas d'ici lĂ . Demain Ă  l'aube je vous quitte, ne pleurez pas s'il vous plait, et ne me regrettez surtout pas. Je suis un criminel aprĂšs vous qui restez. Je vous aime tous autant que vous Maman, ma sƓur, mes amis ainsi que le reste du n'ai droit qu'Ă  une seule lettre, alors je l'adresse Ă  tout ceux qui vont rester quand je ne serais plus fils, ton frĂšre, votre ami, un condamnĂ© Ă  mort, un inconnu, Yu. SakuraMikaiModĂ©ratrice * Ne lutte pas contre le pouvoir xDMessages 1822Âge 27Localisation Chamallow city 80Centres d'intĂ©rĂȘt Photographie, Ecriture, Graphisme, Musique, Asie.‱ Profil Express ‱Playlist Humeur PositiveThe Nawak Box Sujet Re Confusions Spirituelles Sam 10 Mai - 2344 Ouaah tes textes J'ai l'impression de me lire ^^ , ca fait bizarre ! Citation Le temps rĂ©ouvre les plaies, Ă©loigne les nous fait rĂ©aliser que nos rĂȘves ne seront jamais exaussĂ©s, qu'onvit pour mourir, que notre existance est inutile. Le temps passe tropvite, il nous fait oublier les meilleures choses, il me rend faible, ilme rend malade, il me perd. Je m'accroche et j'en dĂ©prime trop, j'aimetrop,je me contrĂŽle pas. Ou plus. Je me rĂ©veille chaque matin en medemandant pourquoi. Pourquoi je continue Ă  avancer, pourquoi jecontinue Ă  pleurer, pourquoi je continue Ă  sourire, pourquoi jecontinue. Des questions sans rĂ©ponses. Des rĂ©ponses auxquelles on a pasde questions. Je me perd. Je me relĂšve. Je tombe. Je fuis. Je me cache. Je reste en vie. Je pleurs. Mon esprit s'Ă©vade, mon stylome guide, les sentiments vibrent dans mon corps, mes phrases ne veulentplus rien dire, elles ne sont que l'expression de mes pensĂ©s coeur dicte Ă  mon esprit mes sentiments douloureux. Je peux le mettre sur un de mes articles ? Parce que jtrouve pas les mots pour la personne Ă  qui il est destinĂ© et la c'est trop trop ca quoi. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re Confusions Spirituelles Dim 11 Mai - 009 Pas de soucis. Tu pourras juste m'envoyer le lien vers l'article. Pas que je ne te fais pas confiance, hein, je fais ça Ă  chaque fois qu'une personne prend un de mes textes ^o^. Je connais cette sensation, de se retrouver au travers d'un texte comme si on l'avait Ă©crit soi-mĂȘme ... Contente que mes textes te plaisent ]. * Ne lutte pas contre le pouvoir xDMessages 1687Âge 28Localisation QuĂ©bec Centres d'intĂ©rĂȘt ce qui m'intĂ©resse... la rĂ©ponse trop claire!‱ Profil Express ‱Playlist Toxic Valentine - All Time LowHumeur PositiveThe Nawak Box Sujet Re Confusions Spirituelles Dim 11 Mai - 022 C'est magnifique... Tu m'as presque fait Vraiment. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re Confusions Spirituelles Dim 11 Mai - 034 Wah. Contente de faire cet effet beaucoup pour les compliments n___n Et vous avez de la chance si vous aimez, il risque d'y avoir de la nouveautĂ© en ce moment, parce que je participe Ă  plusieurs galeries dont le thĂšme me plaĂźt bien ]. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re Confusions Spirituelles Dim 11 Mai - 1201 Je n'est pas de mots pour qualifiez ce que tu faits , c'est superbe et tellement rĂ©aliste wahhh chapeau !!!!! InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re Confusions Spirituelles Dim 11 Mai - 1241 Pour le rĂ©alisme en mĂȘme temps, Ă  part pour quelques textes, j'Ă©cris Ă  partir de ce que je vis, de mes envies. Enfin, je modifie un peu pour que ce ne soit pas directement ma vie mais c'est tout. Le style d'Ă©criture, c'est juste que ça sort de ma tĂȘte ... qui est un joyeux bordel. Vous aurez aussi remarquĂ© que la plupart du temps j'Ă©cris au masculin, en fait ça vient de mon envie d'ĂȘtre un mec, surtout ^o^. . * Ne lutte pas contre le pouvoir xDMessages 3375Âge 28Localisation JuraCentres d'intĂ©rĂȘt Le graphisme, mes amies, lire, Ă©crire...‱ Profil Express ‱Playlist Anyway You Choose To Give It - The Black GhostsHumeur RĂȘveuseThe Nawak Box Sujet Re Confusions Spirituelles Mer 14 Mai - 1935 Comme toutes les autres, je trouve que c'est magnifique !Il n'y a pas d'autres mots ! Tu Ă©cris bien, et on a envie de te lire ! Camille»ModĂ©ratrice * Ne lutte pas contre le pouvoir xDMessages 924Âge 28Localisation RhĂŽne-AlpesCentres d'intĂ©rĂȘt Sortir, guitare, arts appliquĂ©s, musique, amis, et lui.‱ Profil Express ‱Playlist Michelle-The BeatlesHumeur FatiguĂ©eThe Nawak Box Sujet Re Confusions Spirituelles Mer 14 Mai - 2127 T'ecris vraiment trĂšs trĂšs bien,T'arrives Ă  faire des textes jolis et 'tragiques' sans que ça rendre 'prĂ©tentieux', c'est vraiment quand nos poches sont vides alors allons rire ... InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re Confusions Spirituelles Sam 17 Mai - 1132 Merci beaucoup des compliments Kokoro ga itai ... Kimi wa aishiteru, zutto aishiteru. Non, ça ne va pas, ça ne va plus. Tu sais, je ne suis pas si forte que ça, je ne suis pas si insensible que ça. Les larmes ne veulent cesser, l'amour ne veut s'effacer. Pourquoi me rends-tu si triste, pourquoi me fais-tu tant sourire ? Dans ces moments oĂč rien ne va, ces moments oĂč je me dĂ©truit Ă  coups de toi ... Pourquoi es-tu la seule Ă  me faire sourire, pourquoi es-tu la seule qui me fait retrouver l'envie de vivre ? Je ne veux pas, je ne veux plus. Je suis jalouse Ă  en creuver si tu savais, je t'aime si tu asu wa konnai. Je voudrai tant que tu me sauves comme tu l'as fait pour elle. Je voudrai que tu ais besoin de moi comme j'ai besoin de toi, que tu m'aimes comme je t'aime. Je sais que c'est inĂ©spĂ©rĂ©, je sais que je demande l'impossible. Tu ne peux pas inventer des sentiments pour moi aprĂšs tout, je devrai me contenter d'ĂȘtre heureuse pour toi aprĂšs tout. Je suis Ă©goĂŻste, je suis horrible. Pourquoi je ne peux pas m'empĂȘcher de te vouloir pour moi seule, pourquoi je ne peux pas m'empĂȘcher de la dĂ©tester ? Je me reconnais tant dans ses textes, je me sens si fade quand tu lui parles. Remarque comme je t'aime s'il te plaĂźt, remarque comme je souffre s'il te plaĂźt. Sois la plus heureuse au monde pour moi, oublie tout de mon existance, pour moi. Aime lĂ  Ă  m'en dĂ©truire, aime la Ă  en mourir. Lumos*ModĂ©ratrice * Ne lutte pas contre le pouvoir xDMessages 1984Âge 29Localisation BruxellesCentres d'intĂ©rĂȘt Emilie Simon, Adam Green, AmĂ©lie Poulain et les cuberdons qui jouent du ukulĂ©lĂ©.‱ Profil Express ‱Playlist Black Lips - Bad KidsHumeur DĂ©jantĂ©eThe Nawak Box Sujet Re Confusions Spirituelles Dim 18 Mai - 1046 C'est trĂšs beau ce que tu Ă©cris. Tu as un style assez poignant, qui emporter immĂ©diatement. Bravissimo =._________________Dans mon nuage de fumĂ©eJ’arrive plus trop Ă  m'situerDans mon nuage, enfumĂ©eJ’y perds, je perds toutes mes clĂ©s Jaaay__*Je fait comme chez moi !Messages 1354Âge 30Localisation SwissCentres d'intĂ©rĂȘt Les mecs, faire la fĂȘte, le cinĂ©ma, la lecture, bref, j'aime la vie =‱ Profil Express ‱Playlist Wherever you will go - The CallingHumeur Besoin de rĂ©confortThe Nawak Box Sujet Re Confusions Spirituelles Lun 19 Mai - 2126 tu as une façon d'Ă©crire trĂšs... sais pas trop si c'est le bon mot, mais c'est un compliment = J'adore ! t'es vraiment douĂ©e. Inc'Moi, une tĂȘte connue ?Messages 472Âge 28Localisation Sur la route de Madison ='DCentres d'intĂ©rĂȘt Regarder des film en mageant du chocolat, lire des livres en mangeant du caramel...‱ Profil Express ‱Playlist 3T Alright .Humeur RĂȘveuseThe Nawak Box Sujet Re Confusions Spirituelles Ven 23 Mai - 2308 TrĂšs belle plume ! Personellement j'aime beaucoup ta "DerniĂšre lettre d'un condamnĂ© Ă  mort." = Contenu sponsorisĂ©Sujet Re Confusions Spirituelles Confusions Spirituelles Page 1 sur 1Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum‱ Lady Marshmallow ‱ The Hapiness Factory* . Graines d'Artistes Toi & ta plumeSauter vers RTBFTendance vous propose de jeter un Ɠil aux toilettes les plus insolites dissimulĂ©es dans les recoins du globe.

20 modĂšles modernes et chaleureux. Être Ă  cĂŽtĂ© de la track voie ferrĂ©e, ĂȘtre dans le champs, dans les patates Je tiens Ă  vous dire que je ne viendrais plus dans les magasin carrefour. en ce qui concerne le problĂšme de livraison, je comprends que vous ne soyez pas content, mais ce problĂšme peut s'expliquer par le fait que "manomano" dĂ©pend totalement des marchands en ce qui concerne le stock et la livraison, donc si un de ces marchands oublie de prĂ©venir d'une rupture de stock pour un produit, ce produit ne pourra ĂȘtre livrĂ© dans les temps, 
 Les déchets à ne pas jeter dans les toilettes Centre d Halifax suggĂ©ra prudemment ligne Ă  suivre Il est essentiel d'identifier les points d'eau avant de se lancer et de ne pas nĂ©gliger l'Ă©clairage dans le plan de rĂ©novation. Le tout sur un terrain de 326 m2 clos et. Je tiens Ă  vous dire que je ne viendrais plus dans les magasin carrefour. Être aux anges, ĂȘtre trĂšs heureux ĂȘtre bĂȘte comme ses pieds Aucune personne responsable du magasin est intervenue, j'Ă©tais en larme sans parler de la honte que j'ai vĂ©cu ce jour lĂ . 31 mai 2020 Ă  9 h 48 min. en ce qui concerne le problĂšme de livraison, je comprends que vous ne soyez pas content, mais ce problĂšme peut s'expliquer par le fait que "manomano" dĂ©pend totalement des marchands en ce qui concerne le stock et la livraison, donc si un de ces marchands oublie de prĂ©venir d'une rupture de stock pour un produit, ce produit ne pourra ĂȘtre livrĂ© dans les temps, 
 dans les options bien utiles, voici ce que je retiens Le comportement de ce vigile a Ă©tĂ© dĂ©placĂ© et donne Ă  mon avis une mauvaise image de carrefour. Chauffage individuel au gaz une chaudiĂšre par niveau, menuiserie alu double vitrage, volet roulant Ă©lectrique dans le sĂ©jour et volets bois dans les autres piĂšces, carrelage et parquet dans 2 chambres. Dans la salle de 
 Cela peut se voir dans les passages suivants Le mieux reste de prendre exemple sur les professionnels de la maison, qui ont le don de sublimer les lieux sombres ou dĂ©modĂ©s en piĂšces d'eau d'exception. Le tout sur un terrain de 326 m2 clos et. Être aux anges, ĂȘtre trĂšs heureux ĂȘtre bĂȘte comme ses pieds Affiche Ne Rien Jeter Dans Les Wc / Pas de lingettes dans les toilettes ! - YouTube. Le bloc info ne s'allume plus malgrĂ© de nouvelles piles un bip puis plus rien. Le tout sur un terrain de 326 m2 clos et. en ce qui concerne le problĂšme de livraison, je comprends que vous ne soyez pas content, mais ce problĂšme peut s'expliquer par le fait que "manomano" dĂ©pend totalement des marchands en ce qui concerne le stock et la livraison, donc si un de ces marchands oublie de prĂ©venir d'une rupture de stock pour un produit, ce produit ne pourra ĂȘtre livrĂ© dans les temps, 
 Je tiens Ă  vous dire que je ne viendrais plus dans les magasin carrefour. Être Ă  cĂŽtĂ© de la track voie ferrĂ©e, ĂȘtre dans le champs, dans les patates Il est essentiel d'identifier les points d'eau avant de se lancer et de ne pas nĂ©gliger l'Ă©clairage dans le plan de rĂ©novation. Le comportement de ce vigile a Ă©tĂ© dĂ©placĂ© et donne Ă  mon avis une mauvaise image de carrefour. 31 mai 2020 Ă  9 h 48 min. Le bloc info ne s'allume plus malgrĂ© de nouvelles piles un bip puis plus rien. Halifax suggĂ©ra prudemment ligne Ă  suivre quant au focus opĂ©rĂ© sur les lycĂ©ens musulmans » dans son enquĂȘte, les rĂ©ponses de ces derniers ne sont pas mises Ă  l'index 
 en ce qui concerne le problĂšme de livraison, je comprends que vous ne soyez pas content, mais ce problĂšme peut s'expliquer par le fait que "manomano" dĂ©pend totalement des marchands en ce qui concerne le stock et la livraison, donc si un de ces marchands oublie de prĂ©venir d'une rupture de stock pour un produit, ce produit ne pourra ĂȘtre livrĂ© dans les temps, 
 Le bloc info ne s'allume plus malgrĂ© de nouvelles piles un bip puis plus rien. Le tout sur un terrain de 326 m2 clos et. Être dans l'erreur, ĂȘtre Ă  cĂŽtĂ© de la plaque ĂȘtre assis sur son steak Le mieux reste de prendre exemple sur les professionnels de la maison, qui ont le don de sublimer les lieux sombres ou dĂ©modĂ©s en piĂšces d'eau d'exception. Je tiens Ă  vous dire que je ne viendrais plus dans les magasin carrefour. Dans la salle de 


Stickersavec des millions de designs au choix sur le thĂšme Dans Les Toilettes, créés et vendus par fĂ©vrier 2012 Le passage de la frontiĂšre israĂ«lienne
 AprĂšs deux heures passĂ©es au poste jordanien Ă  cause d’un papier d’assurance qui nous manque pour le camion, nous passons au poste israĂ©lien, dont nous nous souviendrons longtemps
 En premier lieu, on nous accueille fusil-mitrailleur en bandouliĂšre et talkie-walkie en marche. TrĂšs vite, nous entrons dans le vif du sujet il nous faut vider intĂ©gralement le contenu du camping-car afin que toutes nos affaires soient passĂ©es au scanner et que le camion soit lui-mĂȘme auscultĂ© dans un atelier spĂ©cial ! On nous fournit gentiment des caddies et de grands sacs transparents, oĂč nous entassons tout notre bazar un peu Ă©prouvant comme activité  Ce qui nous surprend beaucoup, c’est la sensation d’ĂȘtre transparents aux yeux des touristes-piĂ©tons qui passent devant nous. AprĂšs quatre mois dans les pays oĂč tout le monde vous salue et s’inquiĂšte de savoir si vous ne manquez de rien, cela fait bizarre. Le point positif, c’est que nous nous rendons compte lors de ce dĂ©ballage que nous n’avons pas emportĂ© tant de choses superflues. Pendant que nos flacons de shampoing et autres liquides sont testĂ©s chimiquement un Ă  un des fois qu’on transporterait du TNT !, Sabine s’acquitte de l’assurance du camping-car un bon petit budget ! Dernier challenge tout ranger avant vingt heures, car le poste-frontiĂšre ferme. Heureusement, aprĂšs ce marathon, nous sommes autorisĂ©s Ă  bivouaquer juste de l’autre cĂŽtĂ© de la barriĂšre pas besoin de chercher en plus un endroit pour passer la nuit. Nous nous congratulons de notre courage et de notre patience surtout les enfants ! en nous offrant une bonne glace au dessert, puis goĂ»tons au repos bien mĂ©ritĂ©. Eilat Station balnĂ©aire trĂšs semblable Ă  celles de notre CĂŽte d’Azur, Eilat nous prend aux tripes tous ces hĂŽtels luxueux, ces yachts amarrĂ©s dans la marina, ces magasins de produits raffinĂ©s, ces jeunes femmes aux dĂ©colletĂ©s plongeants et aux shorts trĂšs courts nous choquent tant le contraste est brutal entre la Jordanie, modeste et pudique, et ce nouveau pays finalement trĂšs occidental dans sa maniĂšre de vivre. Et puis toujours cette indiffĂ©rence
 Non pas que nous soyons des VIP, mais la convivialitĂ© jordanienne nous manque dĂ©jĂ  ! C’est pourquoi, aprĂšs avoir rĂ©cupĂ©rĂ© quelques cartes et documents touristiques au Centre d’Informations, nous mettons vite les voiles vers le dĂ©sert, afin de nous rendre plus au Nord, Ă  HaĂŻfa. En effet, nous devons impĂ©rativement savoir quel bateau pourra nous dĂ©barquer en Turquie ou Ă  Chypre, Ă  quelle date et dans quelles conditions. Le dĂ©sert du Neguev Nous longeons la vallĂ©e de l’Arraba, dont nous connaissons dĂ©jĂ  la version jordanienne. Ici, les exploitations bananiers, palmiers, Ă©levages sont plus grosses et plus ordonnĂ©es
 Plusieurs kibboutz exploitations agricoles oĂč les travailleurs sont Ă©galement logĂ©s, nourris et blanchis jalonnent la route. Petit Ă  petit, les cultures cĂšdent la place au dĂ©sert de montagnes, puis de cailloux. Une fois la rĂ©gion du Mitzpe Ramon un cratĂšre au milieu de nulle part dĂ©passĂ©, les zones fertiles rĂ©apparaissent au fur et Ă  mesure que nous nous rapprochons de la cĂŽte mĂ©diterranĂ©enne. La verdure des champs de colza nous saute aux yeux cela change des dĂ©gradĂ©s de bruns-beige des pays prĂ©cĂ©dents, plus arides ! En plus, il se met Ă  pleuvoir
 HaĂŻfa Ce qu’il y a de bien dans ce pays hyper-sĂ©curisĂ©, c’est que l’on ne se pose pas trop de questions pour choisir un bivouac ! Nous avons donc Ă©lu domicile dans une rue rĂ©sidentielle de cette Ă©norme ville portuaire et avons essuyĂ© une belle tempĂȘte de vent et de pluie pendant la nuit. Le panneau solaire doit ĂȘtre propre ! Sabine prĂ©voit d’écumer les agences de shipping» pendant que Thierry fait la classe aux enfants, mal garĂ© sur un bout de trottoir. Il pleuviote. La premiĂšre agence, Rosenfeld Shipping, est fermĂ©e nous sommes vendredi, dĂ©but du week-end mais Rachel, une charmante agente de voyage qui y loue un bureau, la renseigne tout de mĂȘme un peu, notamment sur les horaires d’ouverture et les coordonnĂ©es de la personne qui saura lui fournir les bonnes infos, dĂšs dimanche matin. Elle essaie mĂȘme de joindre une autre agence, fermĂ©e elle-aussi. C’est vite vu, nous allons aller nous promener pendant le week-end et reprendrons contact avec les agences Ă  partir de dimanche. Mais avant cela, nous devons trouver de l’eau car nos rĂ©servoirs sont Ă  sec. Plus de mosquĂ©e = plus de robinet en plein air ! C’est dans les toilettes d’une station-service que nous squattons pour faire le plein, mais pas de gasoil, dont le prix est exorbitant enfin, comme en France, quoi. La pluie commence Ă  filtrer dans les lits d’InĂšs et de Martin nous avons comme un petit souci d’impermĂ©abilité  CapharnaĂŒm et le lac de TibĂ©riade MalgrĂ© la pluie, nos mirettes emmagasinent, sur la route qui mĂšne au Lac de TibĂ©riade, tout le vert des champs et des cultures et le rose des arbres fruitiers en fleurs. CapharnaĂŒm, qui fut un village du temps de JĂ©sus, n’est plus qu’un lieu-dit renfermant un site archĂ©ologique et quelques Ă©glises. Nous y bivouaquons, non loin des rives du lac, toujours sous la pluie. Au matin, le soleil tente une apparition et nous assistons Ă  un petit manĂšge de ragondins sortis prendre chaleur et lumiĂšre sur les rochers. Plus tard, nous visitons le site de Tabgha, oĂč se trouvent la basilique primatiale de Saint-Pierre Ă  qui JĂ©sus avait confiĂ© l’Eglise naissante et l’église de la Multiplication des Pains et des Poissons en rĂ©fĂ©rence Ă  l’épisode oĂč JĂ©sus, voulant nourrir une foule immense qui s’était rassemblĂ©e autour de lui au bord du lac pour l’écouter, avait multipliĂ© quelques pains et poissons. Nazareth Un sacrĂ© labyrinthe que la ville oĂč vĂ©cut JĂ©sus enfant ! Lorsqu’enfin nous dĂ©busquons une place de stationnement, nous dĂ©jeunons et sortons dĂ©couvrir la Basilique de l’Annonciation la plus grande Ă©glise du Moyen-Orient, bĂątie autour de la grotte oĂč l’archange Gabriel serait apparu Ă  Marie pour lui annoncer qu’elle Ă©tait enceinte de JĂ©sus. Nous y suivons ensuite la messe, en arabe. Le dĂ©roulement est le mĂȘme qu’en France et les chants nous transportent. SĂ©ance achat de souvenirs» dans l’un des nombreux bouis-bouis d’objets pieux de la ville, puis retour Ă  HaĂŻfa, dans la soirĂ©e. HaĂŻfa 2Ăšme visite Nous retrouvons notre bivouac, Ă  proximitĂ© du port mais au calme. Dommage, la connexion que nous avions attrapĂ©e il y a deux jours ne fonctionne plus
 DĂšs le lendemain matin, Sabine retourne dans les agences, ouvertes cette fois. Chez Allalouf Shipping and Co, les employĂ©s sont trĂšs serviables, mais ne proposent des traversĂ©es que pour le camion
 Retour chez Rosenfeld et ouf ! Bonne nouvelle, il existe un ferry qui dessert l’üle de Chypre, deux fois par semaine, en dix heures! Non seulement nous pourrons voyager sur la mĂȘme embarcation que le camion, mais en plus nous serons logĂ©s en cabine pour la nuit de traversĂ©e et nourris le soir et le matin suivant. Alicia photocopie nos passeports et les papiers du camion, comme ça nous n’aurons qu’à lui envoyer un mail pour confirmer la date Ă  laquelle nous souhaitons voyager et elle pourra directement enregistrer notre rĂ©servation. Nous faisons un petit tour sur les hauteurs d’HaĂŻfa, histoires d’admirer le ballet des cargos au large et la multitude de paraboles et de panneaux solaires entassĂ©s sur les toits des immeubles. Nous mettons ensuite le cap au sud, en longeant la Mer MĂ©diterranĂ©e, dĂ©chaĂźnĂ©e. Entre la plage et l’autoroute, s’étendent de longues bandes de terres pour les cultures, souvent sous serres. CĂ©sarĂ©e CĂ©sarĂ©e fut autrefois l’une des grandes citĂ©s de l’AntiquitĂ©, rivalisant avec des ports antiques tels qu’Alexandrie ou Antioche. Nous choisissons d’aller dĂ©jeuner devant l’aqueduc romain qui longe la mer puis d’aller jeter un Ɠil au magnifique site archĂ©ologique, lui aussi en bord de mer. Netanya L’avantage de voyager hors saison, c’est que l’accĂšs aux plages n’est pas encore payant ! Du coup, nous nous pouvons nous rapprocher de la mer pour bivouaquer sur un parking Ă  moitiĂ© envahi par le sable. A notre rĂ©veil, nous allons tĂąter le sable et la tempĂ©rature de l’eau, un peu fraĂźche. Dans notre dos se dressent des immeubles modernes et de grandes avenues ; une ville balnĂ©aire classique, quoi. JĂ©rusalem Nous arrivons en fin de journĂ©e dans la majestueuse citĂ© multi-confessionnelle. Bien que l’endroit soit dĂ©conseillĂ© le soir et la nuit, nous nous installons au-dessus du cimetiĂšre juif, sur le Mont des Oliviers. Nous avons le temps d’aller visiter l’Eglise du Pater Noster, dans laquelle est inscrite la priĂšre du Notre-PĂšre dans toutes les langues. Ensuite, nous descendons jusqu’à la Basilique de l’Agonie et le Jardin de GethsĂ©mani, avec ses oliviers bi-millĂ©naires! Puis nous rentrons dans notre cabane Ă  roulettes. La vue sur JĂ©rusalem est magnifique, surtout lorsque le soir descend et que les lumiĂšres s’allument dans la vieille ville ! Le lendemain matin, quelle n’est pas notre surprise d’entendre ronronner un nombre incroyable de cars, qui viennent dĂ©verser leurs touristes de bonne heure ! La grasse-matinĂ©e sera pour plus tard
 De toute façon, un long programme nous attend en entrant Ă  l’intĂ©rieur des remparts par la Porte de Sion, nous arrivons rapidement Ă  la Citadelle, qui arbore la Tour de David. La visite est trĂšs instructive car elle retrace l’histoire de JĂ©rusalem, de sa crĂ©ation Ă  nos jours, grĂące Ă  des expositions super claires et intĂ©ressantes. Nous continuons dans le dĂ©dale des ruelles et atteignons le parvis de la Basilique du Saint-SĂ©pulcre, oĂč nous picorons un maigre pique-nique pain au sĂ©same, fallafels boulettes aux Ă©pices, sorte de pain au chocolat et beignet Ă  la pomme. Beaucoup de visiteurs se pressent dans la Basilique, ornĂ©e de lustres et d’icĂŽnes, Ă  la mode grecque-orthodoxe. Un peu trop chargĂ©s pour nous
 Notre balade nous mĂšne ensuite au Mur des Lamentations, auquel nous accĂ©dons aprĂšs un contrĂŽle policier au scanner
 Les hommes, vĂȘtus de noir et portant une kippa ou un chapeau noir Ă  larges bords voire arborant des papillotes, mĂšches de cheveux tortillĂ©es comme des anglaises» devant les oreilles se prosternent devant le fameux mur en rĂ©citant des priĂšres. Parfois, ils glissent des petits papiers portant leurs priĂšres dans les interstices des pierres du mur. Les femmes aussi ont accĂšs au Mur, mais dans un coin sĂ©parĂ©. Nous retrouvons l’ambiance que nous aimons dans le souq aux lĂ©gumes oĂč nous faisons quelques emplettes. Enfin, nous rentrons au camion en traversant le quartier juif, heureux d’avoir commencĂ© Ă  dĂ©couvrir cette ville Ă  l’ambiance si particuliĂšre. Notre nouveau bivouac se situe sur un parking, juste Ă  cĂŽtĂ© des remparts. Le gardien nous explique que nous n’avons pas besoin de payer puisque nous n’avons pas de plaques israĂ©liennes et que, par consĂ©quent, il ne pourrait pas nous mettre d’amende bonne nouvelle ! Dernier jour, mais pas des moindres nous attaquons notre virĂ©e par la Via Dolorosa chemin suivi par JĂ©sus le jour de sa crucifixion, faisons un dĂ©tour par la Citerne d’HĂ©lĂšne mĂšre de l’Empereur Constantin, une cavitĂ© naturelle servant de rĂ©servoir d’eau pour le quartier, au-dessus de laquelle les Coptes ont construit une Ă©glise, puis dĂ©bouchons sur la terrasse du Saint-SĂ©pulcre. Cap ensuite sur le Mont du Temple, auquel nous accĂ©dons aprĂšs avoir fait la queue pour le contrĂŽle policier, et dont nous n’avons que trente minutes pour en faire le tour et surtout admirer le DĂŽme du Rocher. Sur l’esplanade, des hommes d’un Ăąge se sont rassemblĂ©s en petits groupes, vraisemblablement pour Ă©tudier le Coran ensemble, en plein air. L’atmosphĂšre est paisible. Les lieux envoĂ»tants. Les gardiens nous poussent vers la sortie, et nous nous retrouvons en plein cƓur de la vieille ville, dans les ruelles. Nous jetons notre dĂ©volu sur un petit bistrot oĂč nous dĂ©vorons des brochettes de viande et des frites, pour le plus grand bonheur des zouzous. Les assiettes sont tellement gĂ©nĂ©reuses que nous repartons avec notre petite barquette de restes ! Ce soir, nous allons Ă  BethlĂ©em, alors, vite au camion ! BethlĂ©em Cisjordanie Quelques kilomĂštres seulement sĂ©parent JĂ©rusalem de BethlĂ©em, qui se trouve en Cisjordanie, c'est-Ă -dire en territoire palestinien. Pour nous y rendre depuis JĂ©rusalem, nous empruntons une petite route absolument pas touristique et traversons un village, visiblement un camp de rĂ©fugiĂ©s. A notre passage, une nuĂ©e d’enfants nous lancent un shalom» bienvenue. Sans se mĂ©fier, Thierry leur rĂ©pond de mĂȘme
 et aussitĂŽt nous entendons deux porcs dans la carrosserie c’était un test-piĂšge», dans lequel nous sommes tombĂ©s. Ils nous ont sĂ»rement pris pour des sympathisants pro-israĂ©liens et nous ont montrĂ© leur dĂ©sagrĂ©ment
 Sur la route, nous distinguons une Ă©norme colonie juive, avec ses immeubles tout neufs, surplombant la vallĂ©e, fiĂšrement. Puis nous nous prĂ©sentons au check-point pour pouvoir traverser le Mur, triste symbole de la dĂ©chirure qui gangrĂšne le pays depuis plus de soixante ans. BethlĂ©em est construite sur une colline, que nous gravissons pour arriver sur l’esplanade de la Basilique de la NativitĂ©. Un petit garçon s’empresse de nous aider Ă  trouver une bonne place et nous fait comprendre qu’il jettera un Ɠil sur le camion pendant notre absence. Nous nous dirigeons donc vers cette imposante bĂątisse, dont l’entrĂ©e, appelĂ©e Porte de l’Humilité» est minuscule Ă  part AmĂ©lie, nous devons tous nous baisser pour y pĂ©nĂ©trer. Mustafa, un charmant guide parlant français se prĂ©sente Ă  nous mais nous lui expliquons que nous nous contentons de notre guide en papier, notre budget ne permettant pas trop d’extravagances. Au dĂ©but, il tente de nous convaincre, puis commence Ă  casser son prix, avant de nous inviter Ă  le suivre, gratuitement, parce que nous sommes une famille et qu’il adore les enfants ! Du coup, il simplifie les explications et s’attache surtout aux dĂ©tails que les enfants peuvent saisir, mĂȘlant humour et prĂ©cision. Nous voyons l’emplacement de la Grotte oĂč JĂ©sus serait nĂ© et oĂč s’agglutinent les visiteurs, qui veulent absolument toucher une pierre de l’endroit sacrĂ©. Mustafa nous montre aussi les mosaĂŻques cachĂ©es sous des planches amovibles, dans la nef elles ont Ă©tĂ© recouvertes lors de modifications de l’église et ont Ă©tĂ© retrouvĂ©es en parfait Ă©tat, un mĂštre en-dessous du niveau du sol actuel. Au cours de notre visite, notre guide nous prĂ©sente une religieuse française, SƓur Marie-GeneviĂšve, qui nous accompagne sur une autre colline de la ville, au SĂ©minaire des Franciscains, oĂč nous pourrons assister Ă  la Messe des Cendres. Elle est dite en arabe, mais nous sommes heureux de pouvoir entrer dans le CarĂȘme officiellement». A la sortie de la messe, le PĂšre Gabriel, un prĂȘtre argentin en mission ici, s’occupe de nous aider Ă  trouver de l’eau dans le bĂątiment et nous montre oĂč nous garer dans l’immense cour devant l’église. VoilĂ  un bivouac rassurant. Une heure aprĂšs nous avoir laissĂ©s, il revient nous voir, les bras chargĂ©s de cadeaux pendentifs Ă  l’effigie de Marie, porte-clefs et aimant en forme de croix de JĂ©rusalem, petits caramels et bouteille de vin ! C’est un peu NoĂ«l pour un mercredi des Cendres
 Nous le retenons avec nous pour le dĂźner et passons une excellente soirĂ©e en sa compagnie. Non content de nous avoir tant gĂątĂ©s, il accompagne ensuite Thierry Ă  la bibliothĂšque pour qu’il puisse consulter internet. Le lendemain, nous visitons la partie laĂŻque» de la ville et nous rĂ©galons dans le souq fruits, lĂ©gumes, Ă©pices, viande, tissus, vĂȘtements, tĂ©lĂ©visions, piĂšces dĂ©tachĂ©es de voiture on trouve de tout ! D’ailleurs, nous remplissons notre cabas, car, en comparaison, les prix israĂ©liens, sont prohibitifs
 Nous retrouvons notre fidĂšle monture sur le parking des taxis-minibus, oĂč les chauffeurs nous ont accueillis ce matin. Ils nous font comprendre que maintenant, parce que nous avons laissĂ© notre camion vers eux, nous sommes leurs voisins, leurs amis. Cette chaleur humaine nous va droit au cƓur ! Cependant, nous devons partir, car nous voulons arriver sur les bords de la Mer Morte dans l’aprĂšs-midi. PassĂ©es les colonies juives et les montagnes arides, nous descendons petit Ă  petit en-dessous du niveau de la mer -400m et Ă©chouons sur le parking d’une plage privĂ©e, Ă  Neve Midbar. L’endroit est entourĂ© d’anciennes maisons jordaniennes qui ont Ă©tĂ© bombardĂ©es dans les annĂ©es soixante par IsraĂ«l
 Nous sommes thĂ©oriquement en territoire palestinien, mais toutes les enseignes sont Ă©crites en hĂ©breu. Pas Ă©vident pour nous ! Le lendemain matin, nous prenons le temps de mettre un peu d’ordre dans notre cabane, pendant que nos nounours s’en fabriquent une sur le parking, Ă  l’abri d’un rocher. Ensuite, nous levons le camp et nous dirigeons vers la ville de JĂ©richo, dans laquelle nous entrons par un check-point prĂ©cĂ©dĂ© par un gymkhana de balises posĂ©es au sol. A cĂŽtĂ© de la baraque, des filles sont venues rendre visite Ă  leur copine soldat et ça papote sec ! Dans le village, on dirait que le temps s’est arrĂȘtĂ© beaucoup de personnes se dĂ©placent en voiture Ă  cheval, les bĂątiments sont anciens, 
 En tous cas, nous retrouvons cette ambiance conviviale des pays arabes, et nous sommes heureux de rĂ©pondre en souriant aux Salam AleĂŻkoum» bienvenue, bonjour et Where are you from ?». Sur les Ă©tals de fruits et lĂ©gumes, surprise on vend des fraises, disposĂ©es en montagne sur les charrettes. Il nous faut les goĂ»ter ! A part le monastĂšre perchĂ© Ă  flanc de falaise, sous le Mont de la Tentation, et reliĂ© Ă  la plaine par un tĂ©lĂ©phĂ©rique auquel nous ne monterons pas, faute de temps et un site archĂ©ologique nous mĂ©nageons nos troupes et essayons de ne pas abuser des vieilles pierres, donc nous n’irons pas non plus, il n’y a pas grand-chose Ă  voir, si ce n’est l’Arbre de ZachĂ©e, ou du moins un de ses conscrits bimillĂ©naires. Le vrai» arbre dans lequel serait montĂ© ZachĂ©e, le percepteur des impĂŽts, pour mieux voir JĂ©sus qui passait dans son village il y a 2000 ans, est paraĂźt-il un peu dĂ©crĂ©pi
 En tout cas, la taille de son sosie impressionne. Il est conservĂ© dans le jardin d’un musĂ©e qui vient d’ĂȘtre inaugurĂ© et qui est consacrĂ© aux trouvailles archĂ©ologiques sur le site de l’Arbre. Nous en faisons le tour, guidĂ©s par une femme russe le projet est financĂ© par la Russie qui est toute heureuse d’accueillir ses premiers visiteurs. AprĂšs ce petit tour bien sympathique, nous regagnons le bord de la Mer Morte au niveau d’Ein Gedi. Il faut dire que, contrairement au versant jordanien, les plages de ce cĂŽtĂ© sont un peu plus propres et mieux entretenues. Ceci dit, nous ne rĂ©itĂ©rons pas de plouf dans cette mer porteuse ouah, le jeu de mot ! car il pleuviote
 Nous attendons le lendemain matin pour enfin aller visiter un jardin digne de ce nom le Jardin Botanique du kibboutz d’Ein Gedi, et nous ne sommes pas déçus. En effet, il abrite une multitude de variĂ©tĂ©s du monde entier, essentiellement des palmiers et des cactus, mais aussi des ficus gĂ©ants et un mini-zoo. Pour ne rien gĂącher, le soleil est de la partie. AprĂšs le dĂ©jeuner, sur le parking du kibboutz qui surplombe la Mer Morte, nous longeons le rivage, qui se transforme en berges de marais salants plus au sud, puis les montagnes-plateaux comme dans Lucky Luke, selon Martin prennent le relais et seul le beige subsiste dans le paysage. Au loin, les massifs jordaniens rougeoient au coucher du soleil et c’est magnifique. Nous arrivons Ă  Eilat en dĂ©but de soirĂ©e et trouvons un bivouac en bord de route, tout prĂȘt des plages et des hĂŽtels, ce qui nous permet d’avoir de la connexion en wifi et de prendre des infos rĂ©centes concernant l’Egypte sur le site du MinistĂšre des Affaires EtrangĂšres. AprĂšs une bonne nuit, nous sommes d’attaque pour le passage de frontiĂšre. LĂ  encore, les douaniers sont armĂ©s jusqu’au cou et Ă  peine aimables
 Lorsque nous demandons confirmation quant Ă  la dĂ©livrance du visa Ă©gyptien directement Ă  la frontiĂšre, le douanier commence Ă  mĂ©dire sur les Egyptiens, et les Arabes en gĂ©nĂ©ral, en disant qu’on ne peut pas leur faire confiance, que ce que nous a dit l’Ambassade Ă  Amman sera peut-ĂȘtre diffĂ©rent de ce qui se pratique sur le terrain, ici, etc. Bref, en gros, il ne sait pas si oui ou non nous pourrons avoir nos visas de l’autre cĂŽtĂ© de la barriĂšre et nous renvoie au Consulat d’Egypte, dans Eilat. Comme nous ne voulons pas risquer d’avoir Ă  repasser la frontiĂšre israĂ©lienne dans l’autre sens si effectivement les visas ne s’obtiennent pas lĂ , nous rebroussons chemin et nous hĂątons de nous rendre au consulat afin de dĂ©poser nos dossiers, qui seront prĂšs deux heures plus tard, juste le temps pour nous d’aller retirer de l’argent en ville et de pique-niquer. Deux Allemands, Wolfgang et MickaĂ«l, attendent aussi leurs visas. Ils voyagent Ă  pieds jusqu’en Afrique du sud et nous demandent de les rapprocher de la frontiĂšre, ce que nous faisons bien volontiers aprĂšs avoir partagĂ© un cafĂ© et rĂ©cupĂ©rĂ© nos prĂ©cieux papiers. hlmu.
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  • ne rien jeter dans les toilettes humour