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Lesmaraîchers écoulent leur production, en vente directe à la ferme mais pas seulement. Ils se sont associés, avec 11 autres agriculteurs (dont un autre maraîcher) pour

Frédéric Borey 'BUTTERFLIES' Trio, Featuring Lionel LOUEKE MusiqueSalon-de-Provence 13300Le 22/02/2022Avec ce nouvel album chez Fresh Sound Records, le 8ème en tant que leader, Frédéric Borey allie ambition, musicalité et amitié. Suite à leur 1er disque ©2019, et près de 80 concerts depuis 2018, le BUTTERFLIES Trio a construit, ensemble et avec le public, une relation forte. Fort de cette complicité humaine et musicale, il rêve en grand et décide, dans ce second disque, d'inviter Lionel Loueke, musicien de classe internationale Herbie Hancock, Wayne Shorter, Chick Corea, Dave Holland, Charlie Haden, Joe Lovano, Chris Potter, Esperanda Spalding, Robert Glasper, Sting, Gretchen Parlato… et ami fidèle rencontré il y a 26 ans. Cette idée est venue d’une envie collective, celle de se renouveler’. Le trio est le socle qui nous définit, et autour duquel nous pensons intéressant pour nous même et pour le public de créer en permanence, s’amuser, se bousculer, innover. Cela rejoint également la volonté de garder une certaine forme de spontanéité, d’improvisation, de surprise liée à la tradition de notre musique, le jazz. L’idée originale d’inviter Lionel s’est révélée comme une évidence. Ayant tous les trois le plus grand respect pour sa carrière, il s’agissait, au delà[...]
Ouvriermarocain domicilié à Saint-Michel, Brahim Ben Lehoussine est tombé sous les balles allemandes le 19 août 1944 à l’âge de 45 ans. Il a été inhumé dans le cimetière Est. Sa tombe est en déshérence.
Feuille d’annonces de Saint-Pol. Supplément au Puits artésien, revue du Pas-de-Calais Devient L'Abeille de la Ternoise, journal de l'arrondissement de Saint-Pol La Feuille d'annonces de Saint-Pol n'est d'abord d'un supplément au Puits artésien, publié par le Dr Danvin et imprimé par Massias Cf. notice. Trois numéros seulement ont été conservés aux Archives départementales du Pas-de-Calais ceux des 7 décembre 1839, 4 avril et 15 août 1840. La Feuille d'annonces de Saint-Pol a donc épousé le format du Puits artésien, 16 x 24,5 cm, dont elle est cependant indépendante. Elle est présentée sur une colonne et les annonces représentent l'essentiel de son contenu ventes de maisons bourgeoises à Saint-Pol, mais aussi de fermes, de terres à labour, voire de manoirs dans tout l'arrondissement… En 1839, elle propose une publicité d'une page et demie pour une bonne et utile publication » qui paraît sous la direction de M. Chevalier, chimiste distingué, le Journal des Connaissances nécessaires et indispensables aux industriels, aux magistrats, aux commerçants et aux gens du monde dont elle énumère tous les articles. En 1840, le prix des insertions est fixé à 25 centimes la ligne. À côté des extraits de jugements du tribunal de première instance et des avis d'expropriation pour cause d'utilité publique, cette Feuille d'annonces de Saint-Pol publie quelques informations des faits divers, le prix des grains au marché de Saint-Pol, le prix du pain blanc et de ménage, le compte rendu des séances du conseil d'arrondissement. Sa pagination varie de 8 à 12 pages en fonction du nombre des octobre 1839, Auguste Thomas, un habile typographe parisien », nous dit A. Demont dans sa monographie sur L'Abeille de la Ternoise, que nous suivons à présent, remplaça Massias. À partir du 2 janvier 1841, l'imprimeur sépara Le Puits artésien de son supplément. La Feuille d'annonces de Saint-Pol devenue Journal hebdomadaire » sortit chaque samedi soir. Le prix de l'abonnement est de 6 F par an mais les abonnés à la revue littéraire la reçoivent gratuitement. Le samedi 3 avril 1841, la Feuille d'annonces était remplacée par un journal plus ambitieux L'Abeille de la Ternoise, journal de l'arrondissement de Saint-Pol Cf. notice.
Lacolombophilie, une histoire de famille pour Benoît Cailliez, qui a transmis sa passion à sa fille Marie. É lie, Roger, Francis, Benoît. Chez les Cailliez, on est colombophile de père en fils, depuis l’arrière-grand-père. « Et aujourd’hui, je
La vague française de 1954 La page d'accueil concernant les cas de la vague française de 1954 se trouve ici. 18 octobre 1954, Doullens, Somme Référence pour ce cas de citer cette référence dans toute correspondance avec moi en rapport avec ce cas. Résumé Avant de diriger le GEPAN, groupe officiel de recherches sur les rapports OVNIS au sein du CNES, le Dr. Claude Poher avait, dans les années 1970, dressé un catalogue synthétique d'observations par des témoins officiels et/ou ayant fait l'objet d'enquêtes officielles. Il y notait que le 18 octobre 1954 à 0134, à Doullens, dans la Somme, il y avait eu une observation avec 5 témoins. C'était à grande distance, un disque ou lentille de couleurs changeantes ou de plusieurs couleurs, lumineux, de l'intensité d'une étoile, se déplaçant silencieusement en ligne droite ou très large courbe, dans un ciel couvert à basse altitude mais ans pluie. Une enquête officielle avait été menée - sans publication pour le moment. Rapports [Ref. abt1] JOURNAL "L'ABEILLE DE LA TERNOISE" La "Soucoupe" du 18 Octobre Nous avons signalé, dans notre dernier numéro, le passage d'une soucoupe le lundi 18 octobre, entre 8 h. et 9 h. du soir d'abord à l'est de Doullens, puis sur Frévent et St-Pol, d'où le phénomène ou engin? prit la direction de la mer. Son itinéraire de Hem-Hardinval à Frévent est aujourd'hui établi. Elle passa à Montigny-les-Jongleurs, puis à Beauvoir-Rivière Somme à la limite du Ternois. Il semble qu'elle ait effectué une pause d'une demi-heure à trois quarts d'heure dans cette dernière commune, soit au sol, soit à très faible altitude. Elle y a permis, en tout cas de très instructives constatations, qui paraissent infirmer certaines hypothèses et tendre à en confirmer d'autres, sur la nature et les moyens de direction de ces engins mystérieux. Un cultivateur de Beauvoir-Rivière, homme déjà d'un certain âge, et très sérieux, s'était attardé dans les champs à couvrir un silo de betteraves. Il vit soudain la soucoupe venir vers lui, à très basse altitude quatre ou cinq mètres et volant très lentement. "Sa vitesse ne dépassait sans doute pas, nous a-t-il dit 10 kms heure. J'eus l'impression qu'elle cherchait à se poser. Elle avait la forme d'une cloche avec un feu rouge au-dessous. Elle me parut être remarquablement pilotée un petit bosquet étant sur sa route elle le contourna lentement, bien que sa hauteur lui aurait permis de passer au-dessus. "Il se produisit ensuite un fait extrêmement curieux. La soucoupe continuait à venir sur moi. Entre elle et moi, se trouvait une pâture close de fil de fer ronce et piquets de fer. Dans le soir tombant cette clôture était pratiquement invisible. Il fallait connaître son existence. Or, en arrivant à celle –ci, la soucoupe fit un [virage] à droite à angle droit pour la longer, et ensuite, arrivé au piquet d'angle, un à gauche pour longer son autre face, en reprenant ainsi la direction générale nord-sud qu'elle suivait avant. "A noter qu'elle eut pu aisément survoler ces clôtures, sans risque étant donné sa hauteur. Un rideau ou crête se trouvait alors à sa gauche, elle le longea un moment. Puis appuyant de ce côté, elle prit un peu plus de hauteur pour le franchir. Elle survola alors, en direction nord-ouest, des champs en pente montante, en augmentant à mesure sa hauteur, en sorte qu'elle continuait à rester à la même distance du sol. "Elle franchit ensuite une seconde crête, de la même manière que la première. Celle-ci la cacha ensuite à ma vue. Je supposais qu'elle s'était ensuite posé dans la plaine au-dessus. "Cette supposition me parut être confirmé quand, rentrant trois quarts d'heure plus tard chez moi, ma femme dit qu'en revenant de traire, peu avant mon retour, elle avait vu une vive lueur rouge dans la direction où la soucoupe avait disparu pour moi. Le cultivateur ne nous a fait ces déclarations que sous la promesse expresse de ne pas le nommer. Il ne veut pas passer pour un "voyeur de soucoupes". Et cela l'avait incité à se taire pendant huit jours, sans raconter à personne son aventure. Nous lui avons posé les questions supplémentaires suivantes, qui nous ont paru d'intérêt. - Les contours de la soucoupe était-il nets? - Non, flous. - Pourtant un objet métallique se détachant sur le ciel du crépuscule doit donner des arêtes nettes. - Ce n'était pas le cas. - Le bord inférieur se détachait-il plus nettement sur le feu rouge? - Non plus. - Quelle était l'aspect de ce feu? Celui d'une lumière? D'une lanterne? D'un feu de pot d'échappement? Etait-il net? ou diffus. - Diffus; une sorte de luminosité plutôt. - Avez-vous observé l'aspect des parois? Impossible dans le crépuscule pour l'ensemble de la masse, qui faisait noir. Je pouvais seulement [sic] toile grise effilochée de la partie supérieure ne cadrent pas du tout avec la silhouette d'un aéronef métallique, ou d'autres matières, même dans le crépuscule. Par contre ce flou cadrerait très bien avec une formation nébuleuse gazeuse. Nous pensons ici à la théorie selon laquelle les soucoupes "pourraient être" des tourbillons d'électrons groupés, et prenant forme de soucoupe, autour d'un "noyau de condensation" fourni, soit par une particule cosmique, soit par une particule radioactive parmi les millions qui en ont été projetés dans la haute atmosphère par les explosions nucléaires. A noter que cette théorie cadrerait avec l'épisode des fils de fer ronce, les tourbillons d'électrons étant connus être repoussée par le métal. Quant au feu rouge diffus, il est admis que de tels tourbillons d'électrons peuvent créer des luminosités phosphorescentes, au contact du gaz de néon flottant dans les basses couches de l'atmosphère de la même manière que le courant électrique, le fait dans un tube d'éclairage néon. Les expériences faites montrent que cette coloration varie selon l'intensité de l'agent radio électrique qui les provoque rouge pour les intensités faibles fréquences et voltage pour le courant électrique puis orange, brun, violet, voire tirant sur le vert, quand elles augmentent. A propos de cette question de luminosité notons encore qu'à Beauvoir-Rivière où elle allait très lentement, la soucoupe ne présentait qu'une luminosité rouge à sa partie inférieure, tandis que la dizaine de Saint-Polois qui ont vu la soucoupe un peu plus tard indiscutablement la même lui ont remarqué une queue éblouissante. L'émission lumineuse prend donc une intensité croissante avec la vitesse, la queue s'expliquant par le déplacement même de l'objet dans l'air. Infirmation péremptoire de la théorie de lieutenant Plantier, selon laquelle les soucoupes seraient entourées d'une ceinture d'air se déplaçant avec elle dans ce cas il ne saurait en effet y avoir de traînée lumineuse, formant queue. Ajoutons que l'engin fut aperçu le même jour et presque à la même heure à Hesdin, Montreuil et Etaples. [Ref. cpr1] CLAUDE POHER, GROUPE DE RECHERCHE SUR LES OVNI "GEPA" En 1968-1969, avant que l'effort d'ufologie officielle du GEPAN ne soit mis en place, son futur dirigeant le Dr Claude Poher avait été un membre du groupe officieux d'ufologie GEPA, et a rassemblé et encodé sur ordinateur plus de 700 rapports d'OVNIS sur lesquels des calculs statistiques sur des facteurs multiples pouvaient être menés. Dans le fichier se trouvaient un certain nombre de rapports français d'OVNIS pour 1954, dont celui-ci. Pour la lisibilité, une interprétation décodée des données est fournie ici après le code original qui était une chaîne de 80 caractères. Le décodage a été fait selon les indications originales, le numéro de code et sa signification générique sont données. N'oubliez pas que la signification générique de chaque code est une catégorie prédéfinie, et non pas le détail spécifique effectif. Par exemple, si l'âge du témoin principal était de 33 ans, le codage aurait alloué le nombre "3" qui correspond à la catégorie "adulte de 21 à 59 ans." Code original0619551810195401341JA5104014460011AA0B1350A0114000000000000000000000000000000010 LieuDoullens Somme - France N. de cas0619 Code source55 Nature sourceRapports de sources françaises officielles Police, Gendarmerie, armée, pilotes Jour18 Mois10 Année54 Heure01 Minutes34 Type d'heure1 = heure locale Nombre de témoins5 = 5 Témoin principal connu nominativement1 = noms indiqués Age du témoin principal0 = pas d'indication Occupation du témoin principal4 = armée, police, pompier, inspecteur Enquête officielle1 = une enquête officielle a été menée Météo4 = ciel couvert à basse altitude, pas de pluie Durée4 = de 1 à 19 minutes Distance minimale témoin - phénomène6 = plus de 3 kilomètres Méthode d'observation0 = pas d'indication Nombre "d'objets" observés simultanément01 = 1 Forme "d'objet" terminologie des témoins1 = disque, soucoupe, lenticulaire Dimensions du phénomèneAA = taille angulaire, 0B = "comme une pièce de 5 francs 3 centimètres tenue à bout de bras" Couleur du phénomène observé13 = plusieurs couleurs, couleurs changeantes Luminosité du phénomène5 = luminosité évaluées comme étant de la magnitude d'une étoile Lumières ou projecteurs sur le phénomène0 = pas d'indication Vitesse de déplacement du phénomèneA = vitesse angulaire indiquée Accélération du phénomène0 = pas d'indication 0 = pas d'indication Trajectoire du phénomène1 = ligne droite ou très large courbe Sons perçus durant l'observation1 = pas de bruit, silence total, objet silencieux Hauteur angulaire maximale de l'observation horizon = 0°4 = 45 to 60° Nature du lieu d'atterrissage0 = pas d'indication Nombre de points de contact avec le sol0 = pas d'indication Traces d'atterrissage0 = pas d'indication Observation "d'occupants"0 = pas d'indication Taille des "occupants" observés00 = pas d'indication Tenue des "occupants"00 = pas d'indication Tenue0 = pas d'indication Comportement général des "occupants"0 = pas d'indication Interaction des "occupants" avec les témoinss0 = pas d'indication Tête, cheveux0 = pas d'indication Voix, respiration, menton0 = pas d'indication Peau0 = pas d'indication Yeux0 = pas d'indication Bouches0 = pas d'indication Détails divers0 = pas d'indication Effets thermiques0 = pas d'indication Effets lumineux0 = pas d'indication Effets magnétiques ou électromagnétiques0 = pas d'indication Odeur perçue par les témoins0 = pas d'indication Effets physiologiques sur les témoins0 = pas d'indication Effets psychologiques sur les témoins0 = pas d'indication Effets sur des animaux0 = pas d'indication Autres effets rapportés0 = pas d'indication Nébulosité0 = pas d'indication Oscillations, émission de matière0 = pas d'indication Rotation, vol en formation0 = pas d'indication Disparition instantanée0 = pas d'indication Halo autour du phénomène0 = pas d'indication Interaction témoin / phénomène en complément des autres rubriques0 = pas d'indication Dessin ou photo1 = un dessin ou une photographie est joint au rapport original Détails de structure observés0 = pas d'indication [Ref. lcn1] LUC CHASTAN Luc Chastan indique que dans la Somme à Doullens le 18 octobre 1954 à 0134 heures, "Cinq témoins gendarmes ont observé, par un ciel couvert à basse altitude et pendant plusieurs minutes, un disque dont la taille a été estimée à une pièce de cinq francs tenue à bout de bras. Il était assez éloigné des témoins, ses couleurs étaient changeantes et il évoluait en ligne droite à une certaine vitesse qui a été évaluée par l'enquête, sans aucun bruit et par 45 à 60° au-dessus de l'horizon." La source est indiquée comme "Les Universons par Poher Claude ** [Ref. ubk1] "UFO-DATENBANK" Cette base de données a enregistré ce cas en double N° de cas Nouveau N° de cas Enquêteur Date d'observation CP Lieu d'observation Pays d'observation Heure d'observation Classification Commentaires Identification 19541018 Doullens France 19541018 Doullens France NL Explications Les données sont malheureusement trop synthétiques pour permettre une évaluation fondée de ce que cela avait été. Aucune étrangeté notable n'apparaît dans les données. Une méprise n'est pas à exclure. Dans le journal local L'Abeille de la Ternoise du 30 octobre 1954, on trouve bien une mention d'une "soucoupe" qui aurait été vue à Doullens le 18 octobre 1954, mais entre 20 heures et 21 heures. Mots clés Ces mots clés sont uniquement destinés à aider les recherches et ne préjugent pas des faits. Doullens, Somme, officiel, multiple, enquête, durée, soucoupe, couleur, lumineux, point, silence Sources [-] indique des sources que je n'ai pas encore pu consulter. [abt1] Article dans le journal local L'Abeille de la Ternoise, Saint-Pol-sur-Ternoise, Pas-de-Calais, France, page 1, 30 octobre 1954. [cpr1] "Statistics from 735 UFO Observations", papier par le Dr. Claude Poher, GEPA, France. [lcn1] Base OVNI France, site Internet par Luc Chastan, France, circa 2005, à [ubk1] Base de données en ligne UFO-datenbank, Allemagne, trouvé en 2016, à Historique du document Version Créé/changé par Date Description Patrick Gross 6 février 2006 Première publication. Patrick Gross 6 juin 2009 Conversion de HTML vers XHTML Strict. Première version formalisée. Additions [fr1]. Patrick Gross 15 décembre 2016 Addition [ubk1]. Patrick Gross 21 janvier 2019 Addition du Résumé. Explications changées, étaient "Non encore recherchée." Patrick Gross 29 octobre 2020 Dans les Explications, addition du "Dans le journal local L'Abeille de la Ternoise du 30 octobre 1954..."

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Réservé aux Visite Depuis 1990, Xavier Fauquembergue partage ses connaissances dans sa ferme apicole Par Charles Piquet Publié le 07/08/2020 Xavier Fauquembergue vous apprend tout ce qu’il faut savoir sur les abeilles. Qui peut imaginer qu’en plein cœur du village, un terrain de deux hectares se cache derrière les façades ? D’autant plus qu’il ne s’agit pas d’un jardin ordinaire. C’est dans ce corps de ferme que Xavier Fauquembergue a décidé de créer sa ferme apicole, ainsi qu’un musée vivant autour du monde minuscule des...Article Cet article est réservé aux abonnés. Je m'abonne Déjà abonné ? Aujourd'hui 24° Demain 24°
A DEMONT, Notes biographiques sur M. Alexandre Georges, Saint-Pol-sur-Ternoise, 1909, 20 p. (extrait de L'Abeille de la Ternoise). Archives départementales du Pas-de-Calais, RODB 336/9. P. FEUILLETTE, "Alexandre Georges" dans Artois, Cahiers littéraires trimestriels des "Rosatis d’Artois" n° 5, avril 1938, p. 3-5. Archives
Grand Prix jeune journaliste de presse écrite généraliste Morad Belkadi Son parcours Le bac en poche, Morad Belkadi a une idée précise de l’orientation qu’il veut suivre le journalisme. Pour s’y préparer, il prépare pendant deux ans un DUT Information et Communication ». Son premier stage, en 2006, au bureau de l’AFP de Lille, est une révélation la certitude d’avoir fait le bon choix. Il effectue son stage de fin de cycle dans la rédaction de Lille Plus », titre de la presse gratuite pour lequel il fera ensuite ses première piges. Sûr de son projet professionnel, il commence une formation en alternance à l’ESJ de Lille en 2008. Il se forme pendant deux ans au sein de la rédaction de Nord Eclair ». Un beau parcours puisque le journal l’embauche en CDI dès la fin de sa formation. Morad Belkadi s’occupe désormais du traitement des faits divers et de l’actualité locale de Lille Son article Le père des causes perdues » paru dans Nord Éclair » en janvier 2010. Le père Arthur a crée l’association La Pierre blanche » pour venir en aide aux Roms de la métropole. On découvre le parcours de ce prêtre hors norme qui a un long parcours de solidarité derrière lui. L’avis du jury Une belle écriture à la fois fluide et sèche. La construction est intelligente et le portrait est réussi. Un article qui donne envie de rencontrer l’interviewé. Surtout, l’article a été publié début janvier 2010, huit mois avant la médiatisation du père Arthur pour ses propos tenus au coeur de la polémique sur l’expulsion des Roms. Le journaliste a le sens de l’information. Il sait aussi faire preuve d’un vrai talent de journalisme de proximité. Cliquez pour lire l’article Grand Prix jeune journaliste de presse écrite locale Zoé Busca Son parcours Diplômée en 2006 de l’École Supérieure de Journalisme de Lille filière Presse hebdomadaire régionale, Zoé Busca commence par travailler en presse locale en passant six mois à L’Abeille de la Ternoise » dans le Pas-de-Calais. Après cette expérience en PHR, elle quitte la région et part un an dans les Alpes de Haute-Provence, pour le mensuel associatif L’âge de faire » spécialisé dans les questions d’écologie et de citoyenneté. Forte de cette expérience, elle revient dans la région et, un an durant, prépare avec des amis le lancement d’un magazine. Ainsi est né Babelle » en mai 2009, magazine dédié à l’écologie et aux solidarités en Nord – Pas de Calais. La belle initiative n’a malheureusement pas eu le temps de se pérenniser. Faute de moyens financiers, la parution de Babelle » a été interrompue en février 2010. L’aventure ne s’arrête pourtant pas là. L’association a de nouveaux projets, avec toujours la volonté de parler d’écologie. Et puis, Babelle » existe encore par le biais d’une émission radiophonique chaque mardi à 19h30 sur RCV 99FM Lille avec rediffusions le vendredi à 17h sur PFM Arras. Son article Familles d’accueil bienvenue chez vous et nous » paru dans Babelle ». Un article qui revient sur les familles d’accueil, un métier et une solution d’hébergement méconnus, à travers l’expérience d’une famille arrageoise. L’avis du jury Un style à la fois efficace et enlevé qui, sans tomber dans l’angélisme, informe efficacement le lecteur. Une belle histoire de reconversion, traitée avec équilibre en donnant la parole à toute les parties. Sans oublier des encadrés intéressant qui cernent les principales questions. A noter une bonne chute, car il est important de soigner autant la fin d’un article que son attaque... Grand Prix jeune journaliste de presse web Stéphane Dubromel Son parcours Issu du théâtre, Stéphane Dubromel débute dans le journalisme en 2006, dans un premier temps en presse magazine pour Autrement-Dit/Sortir » puis comme correspondant pour La Voix des sports ». Il continue sa découverte du métier en Picardie pour le Bonhomme Picard » puis Le Courrier Picard » avant d’intégrer La Voix du Nord » où il découvre la locale avec, notamment, l’édition d’Hénin- Beaumont. Le goût pour le photojournalisme et l’envie de traiter des sujets longs le poussent à se lancer dans le photo-reportage en suivant la lutte des ouvriers de Continental » en mars 2009. Il couvre ensuite les commémorations de la chute du Mur de Berlin avant de raconter l’histoire des raffineurs de Total Dunkerque ». En 2010, il couvre le procès Kerviel et propose une autre vision de l’événement. Il fait de cette démarche son crédo porter un regard à froid et différend, hors des sentiers formatés, en alliant démarche journalistique et cohérence esthétique. Son article Total une fermeture et des hommes » diffusé sur ». Le conflit social provoqué par l’annonce de la fermeture de la raffinerie Total de Dunkerque vu de l’intérieur. Voir l’article en ligne L’avis du jury Le travail est le fruit d’un vrai suivi journalistique. Stéphane Dubromel a pris le temps de voir, d’écouter, de comprendre. Un vrai travail de reportage. La photographie apporte un élément essentiel au texte. La qualité force l’oeil. Les images s’impriment dans les mémoires. L’ensemble montre un angle original et une utilisation efficace de l’outil internet. Un prix qui a fait l’unanimité dans le jury. Grand Prix jeune journaliste de télévision Anne-Cécile Genre Son parcours La lauréate du prix télévision nous vient de la capitale tourangelle. Après un cursus à HEC, Anne-Cécile Genre travaille dans les médias pendant plusieurs années et décide de devenir journaliste reporter d’images. C’est dans le Nord - Pas de Calais qu’elle concrétise son projet en commençant, il y a deux ans, un contrat pro en alternance entre Wéo » et l’ESJ. Le grand prix distingue une professionnelle en devenir. La valeur n’attend pas le nombre des années... Son article Art-murs, le street art dans le Vieux Lille » diffusé sur Wéo. Qui se cache derrière ces silhouettes de clowns et ces figures au pochoir que l’on découvre au détour des rues sur les murs du Vieux Lille ? Un début de réponse avec le reportage d’Anne Cécile Genre. L’avis du jury Il y a un effort sur le travail de l’image, sur la volonté d’illustrer une histoire et les propos des deux artistes. Le reportage nous plonge dans l’atmosphère de Mimi the Clown, filmé dans son atelier. On comprend un peu mieux les motivations de ces artistes qui s’expriment et créent dans la rue. Grand Prix jeune communicant Mariane Thorel Son parcours Belle année pour Marianne Thorel qui reçoit une deuxième distinction après le prix Houblon décerné par le Club de la presse en mai dernier. La communicante de l’année en quelque sorte… Diplômée de l’EFAP Lille Europe, Mariane Thorel est attachée de presse depuis 2003. Elle a d’abord exercé pendant six ans au sein du pôle RP de l’agence Euro RSCG 360 ». Cette expérience l’a amenée à travailler pour de grandes entreprises dans des secteurs variés. Elle rejoint le service communication de la mairie de Tourcoing en avril 2009. Un passage du privé au public réussi. Cliquez pour voir la campagne de communication Sa campagne de communication Connaissez-vous Tourcoing ? Campagne de changement d’image de la ville à destination des habitants de Tourcoing. L’avis du jury Un beau dossier qui révèle une excellente maîtrise des techniques de communication, de la proximité et d’une excellente intégration au sein d’une équipe. Communiquer sur un changement d’image d’une ville, celle de Tourcoing en l’occurrence, est un vrai challenge. Il fallait trouver et appliquer des idées à la fois simples et originales. Celle du teasing les photographies adressées aux habitants n’est pas la moindre. Faire preuve de personnalité est une chose. Etre en mesure d’en tirer tous les profits au sein d’une équipe exigeante et elle-même constituée de fortes personnalités n’est pas chose aisée. Du travail et du tact. Du tact et du travail. Mariane doit adorer quand un plan se déroule sans accroc. Bravo ! Coup de coeur du jury Bruno Renoul Son parcours Originaire de Touraine, Bruno Renoul s’oriente vers des études de journalisme après avoir obtenu une licence de droit. Il rejoint l’Institut Français de Journalisme et suit une formation en une année spécialisée en presse écrite. Il est engagé pour son premier CDD à la fin de sa formation à la rédaction de Tours de la Nouvelle-République du Centre-Ouest », rédaction dans laquelle il avait effectué plusieurs stages. Il arrive dans le Nord en février 2005 et intègre la rédaction lilloise de Nord Éclair ». En juillet de la même année il prend en charge les faits divers. Il est embauché en CDI en mai 2006. Après 5 ans aux faits-divers lillois il entre à la rédaction régionale de Nord Eclair », début octobre 2010. Classique de la presse écrite hebdomadaire, le fait divers a donné à Bruno Renoul l’occasion de s’intéresser à une unité méconnue de la police. Il l’a fait à travers un vrai travail d’enquête. Son article Une cellule Cold Case » dans la police lilloise » paru dans Nord Éclair. Un article qui nous fait découvrir le travail d’une unité de la police judiciaire de Lille spécialisée dans les affaires criminelles non élucidées. L’avis du jury On apprécie le travail fourni pour cet article documenté. S’agissant d’un traitement régional, le thème est original. Une enquête bien pensée, qui n’oublie pas de parler des attentes des familles concernées par ces affaires non élucidées. Le journaliste a été au bout des choses et c’est ce qui lui vaut ce coup de coeur. Encouragement du jury – radio musicale Ramzi Larkem Son parcours Ce sont des études de droit qui ont amené Ramzi Larkem à s’installer dans le Pas de Calais. Après un master de recherche en droit public, mention droit de l’environnement et des collectivités territoriales » en 2007, puis un second en 2008 en évaluation et expertise des politiques publiques », il occupe un poste d’enseignant vacataire à l’Université du Littoral Côte d’Opale. En mars 2009, après une rencontre avec le responsable de la station, Ramzy Larkem intègre, comme bénévole, l’équipe de Transat FM », radio associative de proximité du Boulonnais. Six mois plus tard, la direction lui propose un contrat de journaliste. Depuis il réalise des reportages et des interviews politiques. Son article Les Roms dans le Boulonnais » diffusé sur Transat Fm ». Un reportage qui donne la parole aux Roms installés dans un camp près de Boulogne-surmer et qui permet de mieux comprendre leur quotidien, leurs espoirs. L’avis du jury Le jury a apprécié la démarche journalistique. Le commentaire s’efface pour laisser les Roms s’exprimer. Le témoignage de ce petit garçon est d’une fraîcheur imparable, l’auditeur est interpellé par ce symbole d’une intégration que seules des exigences indépendantes des intéressés peuvent contrarier. Dans le contexte actuel, le recueil de ces témoignages n’était sans doute pas évident. Faute de prix cette année, un encouragement du jury s’imposait.
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